Poursuivons notre petit "best of"
des moments musicaux de l'année 2013 et démarrons avec une catégorie coup de cœur…
Dans la catégorie "Ceux qu’on n’attendait pas mais qui t’ont flanqué une belle claque sur ta tronche quand même" : Editors
Remarquez qu'ils auraient pu figurer dans la catégorie qui clôturait l'article d'hier, à la différence près que si Miles Kane a "cramé" l'AB avec sa musique, Editors a allumé le feu au Sportpaleis… au sens propre. A coup d'effets pyrotechniques. Quand on ne s'y attend pas, ça surprend… J'en ai hurlé! Mais ai adoré ça!
Au départ, ce concert était un envie d'une de mes amies. Curieuse de nature, j'avais accepté l'expérience. Si je ne connaissais pas le groupe début 2013 (oui, je sais, honte à moi…), la vitesse à laquelle sont parties les places de concert aurait rapidement du me mettre la puce à l'oreille quant à la notoriété du groupe en Belgique.
Notoriété absolument justifiée. Les Editors m'ont littéralement scotchée. Pour plusieurs raisons.
D'abord, grâce à "The Weight of your Love", leur dernier album. Première étape pour savoir ce qui m'attendrait le soir venu. Et découverte d'un album de qualité doté d'un potentiel de dingue!
Ensuite, Tom Smith, dont la voix et la présence sur scène font sans aucun doute partie des atouts du groupe. J'ajouterai également une belle communication avec le public et les fans, que ce soit en tournée ou non : lorsque le groupe a terminé sa tournée et que le chanteur a pris le temps, via la page Facebook du groupe, de remercier toutes les personnes venues les voir en concert. On a beau dire, ce genre de geste, ce n'est pas grand-chose mais c'est une belle marque de respect envers son public.
Mention extra spéciale pour Ed Lay, le batteur du groupe qui est désormais entré dans ma "Star List" des batteurs aux côtés de, notamment, Steve Jordan ou Abraham Laboriel Jr. Ce type, qui parait tout minuscule à côté de grands batteurs "baraqués", a envoyé comme un malade ce soir-là et m'a laissée toute… ouais, avouons-le, j'ai été complètement séduite et il a mis un sourire sur mon visage toute la soirée!
Dans la catégorie "Ceux qu’on n’attendait pas mais qui t’ont flanqué une belle claque sur ta tronche quand même" : Editors
Remarquez qu'ils auraient pu figurer dans la catégorie qui clôturait l'article d'hier, à la différence près que si Miles Kane a "cramé" l'AB avec sa musique, Editors a allumé le feu au Sportpaleis… au sens propre. A coup d'effets pyrotechniques. Quand on ne s'y attend pas, ça surprend… J'en ai hurlé! Mais ai adoré ça!
Au départ, ce concert était un envie d'une de mes amies. Curieuse de nature, j'avais accepté l'expérience. Si je ne connaissais pas le groupe début 2013 (oui, je sais, honte à moi…), la vitesse à laquelle sont parties les places de concert aurait rapidement du me mettre la puce à l'oreille quant à la notoriété du groupe en Belgique.
Notoriété absolument justifiée. Les Editors m'ont littéralement scotchée. Pour plusieurs raisons.
D'abord, grâce à "The Weight of your Love", leur dernier album. Première étape pour savoir ce qui m'attendrait le soir venu. Et découverte d'un album de qualité doté d'un potentiel de dingue!
Ensuite, Tom Smith, dont la voix et la présence sur scène font sans aucun doute partie des atouts du groupe. J'ajouterai également une belle communication avec le public et les fans, que ce soit en tournée ou non : lorsque le groupe a terminé sa tournée et que le chanteur a pris le temps, via la page Facebook du groupe, de remercier toutes les personnes venues les voir en concert. On a beau dire, ce genre de geste, ce n'est pas grand-chose mais c'est une belle marque de respect envers son public.
Mention extra spéciale pour Ed Lay, le batteur du groupe qui est désormais entré dans ma "Star List" des batteurs aux côtés de, notamment, Steve Jordan ou Abraham Laboriel Jr. Ce type, qui parait tout minuscule à côté de grands batteurs "baraqués", a envoyé comme un malade ce soir-là et m'a laissée toute… ouais, avouons-le, j'ai été complètement séduite et il a mis un sourire sur mon visage toute la soirée!
Enfin et surtout, ce groupe a une base rock
mais a exploré, dans l'album "In This Light and on This Evening", le
monde de la musique électro. Ce monde recueille peu mes faveurs en général mais
Editors a réussi, grâce aux versions "live" de ces chansons, à faire
passer la pilule en un temps record.
Bref… encore aujourd'hui, quasiment deux
mois après le concert, j'écoute encore toujours les quatre albums du groupe
anglais et… ils me manquent. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce groupe
a été mon coup de foudre de l'année.
Petite info pour les fans d'Editors, je les
invite à tenir à l'œil The Spectors, un jeune groupe belge récemment signé par
PIAS Belgium. Sachant qui se cache sous la casquette de producteur, je serai
curieuse de découvrir le son du groupe… Premier single, "Nico", en
janvier 2014 suivi d'un EP en mars 2014. A bon entendeur…
Dans la catégorie « Ceux qu’on n’attendait pas et qu’on va vite renvoyer dans leurs foyers » : Balthazar
Première "rencontre", les Ardentes, où ils ne m'ont pas laissé un souvenir impérissable. Soit.
Le lendemain, je me rendais au TW Classic où ce même groupe ouvrait les festivités… avec exactement les mêmes setlist et énergie plate.
Comme pour les Imagine Dragons, ce fut "Jamais deux sans trois" et je retrouvais donc le groupe belge en ouverture d'Editors. Comme il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, je m'étais concentrée et avais écouté avec attention leur musique, mettant mon manque de passion précédent sur le fait d'avoir vu le groupe deux jours d'affilée.
Sans succès. Rien à faire, j'accroche pas. Même si le public semble, lui, apprécier. Heureusement pour Balthazar, d'ailleurs.
Dans la catégorie « Ceux qu’on n’attendait pas et qu’on va vite renvoyer dans leurs foyers » : Balthazar
Première "rencontre", les Ardentes, où ils ne m'ont pas laissé un souvenir impérissable. Soit.
Le lendemain, je me rendais au TW Classic où ce même groupe ouvrait les festivités… avec exactement les mêmes setlist et énergie plate.
Comme pour les Imagine Dragons, ce fut "Jamais deux sans trois" et je retrouvais donc le groupe belge en ouverture d'Editors. Comme il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, je m'étais concentrée et avais écouté avec attention leur musique, mettant mon manque de passion précédent sur le fait d'avoir vu le groupe deux jours d'affilée.
Sans succès. Rien à faire, j'accroche pas. Même si le public semble, lui, apprécier. Heureusement pour Balthazar, d'ailleurs.
Dans
la catégorie "Ceux que t'as jamais vu en concert mais que t'as envie de
gifler": les Rolling Stones
Aaah quel beau retour avec "Doom And Gloom", ce morceau épatant porté par une vidéo géniale (avec Noomi Rapace, la star de la version suédoise de la saga Millenium)! Retour annoncé sur la scène pour un des groupes les plus mythiques de l'histoire de la musique. Youpie!
Et puis… le couperet tombe. Pas de tournée mais un ensemble de concerts à Londres et à New-York. Bon OK, on ira à Londres même si la O2 Arena est selon moi trop gigantesque que pour profiter du spectacle. Suis plus à une traversée près…
Pan! Deuxième couperet! Pardon? 120£ pour une place bien loin dans les gradins, où tu verras les Stones en piti riquiqui? C'est pour rire? Et ben non… Et évidemment, il faut ajouter à ce prix les déplacements et le logement…
Comme moi, de nombreuses personnes – journalistes ou non - ont critiqué le prix prohibitif des places pour ces concerts. La seule justification des Stones a été qu'il "faut bien payer les décors qui seront sur scène". Eeeuh dites… vous me mettez Keith Richards sur une boite en carton, mon bonheur est complet, pas besoin de grands effets de scène ou de lumières, S'PAS!
Si je peux comprendre le prix élevé d'un billet pour un concert de Mylène Farmer qui a, depuis 1989, toujours intégré des décors fabuleux à ses tournées, je ne peux pas le concevoir pour les Rolling Stones. Clapton et McCartney sont eux aussi des légendes de la musique, avec une carrière au moins aussi spectaculaire que les Stones et, pour les avoir vus ces deux artistes, n'ont pas "abusé" financièrement de leurs fans comme l'ont fait les Stones.
Maintenant, vous allez me dire, chacun est libre de vouloir payer cette somme ou pas et de voir le groupe. De fait. J'ai choisi de ne pas céder et d'ainsi donner raison à cet abus de confiance. Et j'avoue que, même des mois plus tard, j'ai encore cet épisode en travers de la gorge…
Aaah quel beau retour avec "Doom And Gloom", ce morceau épatant porté par une vidéo géniale (avec Noomi Rapace, la star de la version suédoise de la saga Millenium)! Retour annoncé sur la scène pour un des groupes les plus mythiques de l'histoire de la musique. Youpie!
Et puis… le couperet tombe. Pas de tournée mais un ensemble de concerts à Londres et à New-York. Bon OK, on ira à Londres même si la O2 Arena est selon moi trop gigantesque que pour profiter du spectacle. Suis plus à une traversée près…
Pan! Deuxième couperet! Pardon? 120£ pour une place bien loin dans les gradins, où tu verras les Stones en piti riquiqui? C'est pour rire? Et ben non… Et évidemment, il faut ajouter à ce prix les déplacements et le logement…
Comme moi, de nombreuses personnes – journalistes ou non - ont critiqué le prix prohibitif des places pour ces concerts. La seule justification des Stones a été qu'il "faut bien payer les décors qui seront sur scène". Eeeuh dites… vous me mettez Keith Richards sur une boite en carton, mon bonheur est complet, pas besoin de grands effets de scène ou de lumières, S'PAS!
Si je peux comprendre le prix élevé d'un billet pour un concert de Mylène Farmer qui a, depuis 1989, toujours intégré des décors fabuleux à ses tournées, je ne peux pas le concevoir pour les Rolling Stones. Clapton et McCartney sont eux aussi des légendes de la musique, avec une carrière au moins aussi spectaculaire que les Stones et, pour les avoir vus ces deux artistes, n'ont pas "abusé" financièrement de leurs fans comme l'ont fait les Stones.
Maintenant, vous allez me dire, chacun est libre de vouloir payer cette somme ou pas et de voir le groupe. De fait. J'ai choisi de ne pas céder et d'ainsi donner raison à cet abus de confiance. Et j'avoue que, même des mois plus tard, j'ai encore cet épisode en travers de la gorge…
Dans
la catégorie "Celui qui t'a fait haïr le marché noir": John
Mayer
John… "mon" John qui passe ENFIN de ce côté-ci de la planète pour une série de concerts. Après dix ans de tendresse pour ce grand gaillard, ça y est, voilà l'occasion! Il passe par l'Angleterre (encore cette damnée O2 Arena…) mais aussi par une plus petite salle, aux Pays-Bas. Le bonheur, quoi! Ouais…
Jour d'ouverture des billets… Deux minutes, tout vendu. Explication rapide : une congrégation de minables individus a acheté toutes les places. Preuve en est que l'on retrouve, quelques minutes à peine après l'annonce de "sold-out", des dizaines de places à vendre, à un prix allant jusqu'à dix ou quinze fois le prix d'origine. J'en ai pleuré de rage et de dépit!
Là non plus, je n'ai pas cédé et ai ainsi dû faire mon deuil… non sans souhaiter à toutes ces personnes qui travaillent… non… qui profitent des gens, les pires tourments pour avoir empêché une fan de réaliser un de ses rêves les plus… chers.
John… "mon" John qui passe ENFIN de ce côté-ci de la planète pour une série de concerts. Après dix ans de tendresse pour ce grand gaillard, ça y est, voilà l'occasion! Il passe par l'Angleterre (encore cette damnée O2 Arena…) mais aussi par une plus petite salle, aux Pays-Bas. Le bonheur, quoi! Ouais…
Jour d'ouverture des billets… Deux minutes, tout vendu. Explication rapide : une congrégation de minables individus a acheté toutes les places. Preuve en est que l'on retrouve, quelques minutes à peine après l'annonce de "sold-out", des dizaines de places à vendre, à un prix allant jusqu'à dix ou quinze fois le prix d'origine. J'en ai pleuré de rage et de dépit!
Là non plus, je n'ai pas cédé et ai ainsi dû faire mon deuil… non sans souhaiter à toutes ces personnes qui travaillent… non… qui profitent des gens, les pires tourments pour avoir empêché une fan de réaliser un de ses rêves les plus… chers.
Dans
la catégorie « Et sinon, tes impressions sur les premières parties ? » :
Gary Clark Jr, You Me At Six, Pegasus
Gary Clark Jr a assuré la première partie de Clapton et "assuré " est le terme tout à fait adéquat pour le texan de 29 ans qui nous a fait vibrer avec sa musique… Pas facile d'ouvrir le show pour un artiste comme Clapton et pourtant, sa prestation est passée comme une lettre à la Poste. "God" s'est d'ailleurs fait plaisir en faisant revenir Clark Jr sur scène pour les deux dernières chansons du set (Sunshine of Your Love et High Time We Went), pour notre plus grand plaisir!
Gary Clark Jr a assuré la première partie de Clapton et "assuré " est le terme tout à fait adéquat pour le texan de 29 ans qui nous a fait vibrer avec sa musique… Pas facile d'ouvrir le show pour un artiste comme Clapton et pourtant, sa prestation est passée comme une lettre à la Poste. "God" s'est d'ailleurs fait plaisir en faisant revenir Clark Jr sur scène pour les deux dernières chansons du set (Sunshine of Your Love et High Time We Went), pour notre plus grand plaisir!
Thirty Seconds To Mars avait choisi You Me
At Six pour chauffer la salle. Je connaissais le groupe pour l'avoir découvert
lors de pérégrinations sur YouTube et m'était procuré leurs trois albums. Le
groupe a un son indéniablement rock, parfois pop, qui – à tort – m'a fait
penser qu'ils étaient américains. Raté, ils sont anglais… et You Me At Six
s'est avéré une agréable surprise! Ce que l'on entend sur les albums est
en-deçà de la prestation que le groupe fait sur une scène, fait TRES rare. Le
groupe a fait bouger la Lotto Arena à renfort de bonne rythmique de batterie,
de riffs de guitare et au son de la voix de Josh Franceschi qui a su séduire le
public, notamment au travers de ses interactions avec lui. En fait, soyons
honnête, une fois sortie de la salle, je me suis dit que j'avais passé un
meilleur moment avec eux qu'avec les Thirty Seconds to Mars, c'est dire…
Pegasus… l'OVNI de l'année! Avant de les
voir sur la scène de l'Ancienne Belgique, en ouverture de Hurts, j'étais allée visionner
quelques vidéos sur YouTube et… ne savait pas trop à quoi m'attendre après
avoir vu "Skyline". Alea Jacta Est, on verrait bien une fois le
quatuor suisse sous les yeux. Résultat? Ils m'ont eue comme une bleue avec une
sonorité qui, au départ, me laissait perplexe! Les quatre garçons ont en fait
un petit côté adorable et une belle énergie qui fait qu'il était assez
difficile de les détester : ils ont d'ailleurs
réussi à faire danser et participer le public de l'AB sans grande difficulté. Une
fois rentrée, je me suis procurée leur album "Human. Technology",
l'écoute régulièrement depuis (c'est d'ailleurs le cas en écrivant ces lignes)
et en apprécie chaque morceau. Quand je pousse sur play, leurs mélodies
"aériennes" associées à la voix caractéristique de Noah Veraguth me donnent
envie de lever mon popotin, de bouger et chanter, le tout avec un énorme
sourire… Ça, c'est l'effet qu'ils me font!
Vivement l'arrivée du nouvel album
"Love & Gunfire" en 2014, tiens! Ils seront également de retour
en Belgique le 18 janvier pour un concert au Magic Mirror, à Bruxelles.
Dans
la catégorie "Ceux qui te font réaliser que la Suisse n'est pas neutre…
pas en musique du moins" : Bastian Baker
Après l'expérience Pegasus, la Suisse a refait surface dans mon monde musical, d'une façon un peu particulière.
Au concert d'Imagine Dragons, je retrouve Gaétan qui m'invite à venir "rencontrer" Bastian Baker, Suisse lui aussi et juré de l'émission "The Voice" Belgium, lors d'une séance de dédicaces à la Fnac Liège. Autant le dire de suite, je ne suis absolument pas fan des émissions "The Voice", "Belgium's Got Talent" et tutti quanti : avec les années, j'ai l'impression que la télévision nous fait à chaque fois manger le même plat, en changeant juste un peu l'assaisonnement. Du coup, je n'étais donc pas du tout familiarisée avec Bastian Baker. Cela dit, plusieurs personnes de mon entourage m'avaient vanté ses qualités musicales…
Me voilà donc à écouter des morceaux de ses deux albums, à la va-vite, en me disant pour la 22.000ème fois que c'est quand même parfois un peu la galère de vivre deux (voire trois, parfois) vies parallèles… et… je réalise que… oui, oui, il y a un sacré potentiel chez ce type!
Un premier album sorti alors qu'il avait à peine 20 ans, doté de morceaux agréables à l'oreille et de paroles démontrant une extrême maturité : gardant son âge à l'esprit, des morceaux tels que "Colorful Hospital", "Nobody Should Die Alone" ou encore "Song About A Priest" m'ont laissée bouche bée… Continuité et talent confirmé sur le second album…
Après l'expérience Pegasus, la Suisse a refait surface dans mon monde musical, d'une façon un peu particulière.
Au concert d'Imagine Dragons, je retrouve Gaétan qui m'invite à venir "rencontrer" Bastian Baker, Suisse lui aussi et juré de l'émission "The Voice" Belgium, lors d'une séance de dédicaces à la Fnac Liège. Autant le dire de suite, je ne suis absolument pas fan des émissions "The Voice", "Belgium's Got Talent" et tutti quanti : avec les années, j'ai l'impression que la télévision nous fait à chaque fois manger le même plat, en changeant juste un peu l'assaisonnement. Du coup, je n'étais donc pas du tout familiarisée avec Bastian Baker. Cela dit, plusieurs personnes de mon entourage m'avaient vanté ses qualités musicales…
Me voilà donc à écouter des morceaux de ses deux albums, à la va-vite, en me disant pour la 22.000ème fois que c'est quand même parfois un peu la galère de vivre deux (voire trois, parfois) vies parallèles… et… je réalise que… oui, oui, il y a un sacré potentiel chez ce type!
Un premier album sorti alors qu'il avait à peine 20 ans, doté de morceaux agréables à l'oreille et de paroles démontrant une extrême maturité : gardant son âge à l'esprit, des morceaux tels que "Colorful Hospital", "Nobody Should Die Alone" ou encore "Song About A Priest" m'ont laissée bouche bée… Continuité et talent confirmé sur le second album…
Et cette rencontre? Et bien… charmant et
très gentil. Je n'avais pas réussi à mettre la main sur son premier album mais
ai pu acquérir un de ceux posés près de lui, ce qui nous a valu à tous deux un
bref échange assez amusant concernant les emballages de CDs. J'en souris encore
à chaque fois que je remets le pied à la Fnac… et garde un très bon souvenir de
cette rencontre avec un jeune artiste prometteur que je compte bien tenir à
l'œil.
Dans la catégorie "Ceux que je vais tenir à
l'oeil" : Shiva and The
Hazards, Black Coral Groove, The Forgotten Saints, Broken Witt Rebels, Alistair
Sheerin, Thom C, Run From Cover
Pourquoi? Et bien…
Parce que si Shiva and The Hazards a réussi à attirer l'attention du producteur Chris Potter ave leur musique, je me dis que…
Parce que si Black Coral Groove me repose un peu l'esprit avec un peu de douceur musicale, je me dis que…
Pourquoi? Et bien…
Parce que si Shiva and The Hazards a réussi à attirer l'attention du producteur Chris Potter ave leur musique, je me dis que…
Parce que si Black Coral Groove me repose un peu l'esprit avec un peu de douceur musicale, je me dis que…
Parce que si j'apprécie la voix du chanteur de The Forgotten Saints et les influences musicales de ce groupe, je me dis que…
Parce que si j'aime le son rock des Broken
Witt Rebels, je me dis que…
Parce que si Alistair arrive à me faire
danser en plein milieu du salon, je me dis que…
Parce que les mélodies et la voix de Thomas touchent droit dans le cœur…
Parce que si je ne me lasse toujours pas de
l'album des Run From Cover plusieurs mois après l'avoir chroniqué…
Parce que, comme je me suis fait des amis parmi
ces artistes et groupes, je me dis que… je serais une complète imbécile de ne
pas vous parler d'eux alors que je trouve qu'ils ont un potentiel musical
évident, en plus d'être de très "belles" personnes. Cela n'engage que
moi, bien évidemment… Libre à vous de vous faire votre propre opinion…
Dans la catégorie "Celui que t'as beaucoup vu en 2013 sans l'avoir vu": David Bowie
Aaah David, David! Moi qui ne connaissait finalement que les bases de Bowie, je peux vous assurer que j'ai suivi une formation approfondie et intensive concernant la vie et la carrière de cet artiste en un temps record, le tout sous la guidance d'un de ses plus grands fans.
Début 2013, après dix ans d'absence, David Bowie refaisait surface avec un nouveau single et en annonçant la sortie d'un nouvel album. Il n'en fallait pas plus à Laurent Rieppi, un de mes amis, pour se lancer dans un projet fou : l'écriture d'un livre sur l'artiste caméléon. Sans réaliser ce qui se passait, je me retrouvais embarquée dans cette folle aventure, à relire et corriger les lignes écrites par Laurent, de jour comme de nuit. Folle mais belle aventure : Laurent a écrit un très chouette livre de 200 pages sur le sujet auquel j'ai été contente d'apporter, avec d'autres, une petite contribution. Contribution qui me vaut d'avoir un remerciement (en plus des 2000 autres que Laurent m'a écrit au fil des semaines…) dans ces pages. Et ça, ça fait du bien au moral. A l'égo aussi, un petit peu quand même… :p
D'ailleurs… ptèt qu'on a tellement aimé ça qu'on s'y remettra un jour. Ptèt même qu'il se pourrait que j'aie tellement pris goût aux corrections et relectures que j'ai joué une deuxième mi-temps cette année, dans le "grand tournoi des livres". Allez savoir… ;)
2013 était donc encore une année des plus satisfaisantes et 2014 devrait être elle aussi des plus intéressantes. Ainsi, sont déjà au planning :
Dans la catégorie "Celui que t'as beaucoup vu en 2013 sans l'avoir vu": David Bowie
Aaah David, David! Moi qui ne connaissait finalement que les bases de Bowie, je peux vous assurer que j'ai suivi une formation approfondie et intensive concernant la vie et la carrière de cet artiste en un temps record, le tout sous la guidance d'un de ses plus grands fans.
Début 2013, après dix ans d'absence, David Bowie refaisait surface avec un nouveau single et en annonçant la sortie d'un nouvel album. Il n'en fallait pas plus à Laurent Rieppi, un de mes amis, pour se lancer dans un projet fou : l'écriture d'un livre sur l'artiste caméléon. Sans réaliser ce qui se passait, je me retrouvais embarquée dans cette folle aventure, à relire et corriger les lignes écrites par Laurent, de jour comme de nuit. Folle mais belle aventure : Laurent a écrit un très chouette livre de 200 pages sur le sujet auquel j'ai été contente d'apporter, avec d'autres, une petite contribution. Contribution qui me vaut d'avoir un remerciement (en plus des 2000 autres que Laurent m'a écrit au fil des semaines…) dans ces pages. Et ça, ça fait du bien au moral. A l'égo aussi, un petit peu quand même… :p
D'ailleurs… ptèt qu'on a tellement aimé ça qu'on s'y remettra un jour. Ptèt même qu'il se pourrait que j'aie tellement pris goût aux corrections et relectures que j'ai joué une deuxième mi-temps cette année, dans le "grand tournoi des livres". Allez savoir… ;)
2013 était donc encore une année des plus satisfaisantes et 2014 devrait être elle aussi des plus intéressantes. Ainsi, sont déjà au planning :
-
Beady Eye, où on me trouvera probablement du côté gauche
de la scène, cette fois… près de Gem Archer, donc.
-
Fall Out Boy, les R'n'R kids de Chicago,
ratés tant de fois lors de l'été 2013 (avec The Pretty Reckless en opening act,
extra!)
-
Beyoncé, celle qui vend 20.000 places en 8
minutes (dont 5 chez moi, dans un coffre-fort!)
-
Neil Finn, la "voix" de
"Don't Dream It's Over"
-
Gladiator, à Londres, avec Joaquin et
Russell sur l'écran et la musique de Hans Zimmer jouée en live devant toi? What
else?
Pour finir, je vous souhaite à tous, que
vous soyez un ami croisé lors d'un des concerts de cette année, un ami
musicien, un ami de toujours, un collègue, le lecteur qui passe ou autre, la
plus belle des années 2014. Que celle-ci vous permette de réaliser vos rêves et…
qu'elle soit emplie de notes de musique…