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mercredi 22 janvier 2020

L'histoire de... Orianthi



Morale de l’histoire : pourquoi donner une seule réponse quand on peut faire un doublé dans la foulée ?

Dans les questions du jour d’Entrez SansFrapper, on avait notamment « Quelle est la plus belle chanson d’une artiste dont le nom se résume à son prénom » ?

Ouh… plein de possibilités ! Enya, Sia, Adele, Anastacia, Lorie, Dido, Angunn, Dalida, Rihanna, Beyoncé, Dorothée, Shakira, Björk… On peut aussi ajouter Duffy, Morrissey, Grégoire ou encore Mika sauf que… non. Parce qu’on parle d’unE artiste, une femme donc. Et un nom de stage qui est juste le prénom et donc pas le nom de famille. Coquins, les cocos d’Entrez Sans Frapper !

Il ne m’a pourtant fallu que 2 minutes montre en main pour écrire Orianthi. Pourquoi elle ? Parce que pour dire les choses platement, Orianthi appartient à cette catégorie de gonzesses auxquelles on file une six cordes avec laquelle elles vous atomisent tout sur leur passage. Dans cette catégorie, j’ajoute Joan Jett et Susan Tedeschi pour avoir le tiercé gagnant.



Mais revenons à Orianthi. Née Orianthi Penny Panagaris, la jeune femme est d’origine grecque mais… Australienne. Hasard du calendrier et sans en avoir connaissance, j’ai choisi d’évoquer son nom dans le jeu de la « ratchio » le jour où elle fêtait ses 35 ans ! Bon anniversaire, Mademoiselle !
La musique, elle est tombée dedans étant petite : elle commence le piano à 3 ans avant de se tourner vers la guitare, instrument que maitrise également son papa. Guitare acoustique dans un premier temps, électrique dans un second temps. A force de gratter la guitare, alors que ses copains sont en train d’user leurs pantalons sur les bancs de l’école et de vivre une adolescence classique, elle fait des scènes. Elle commence les années 2000 en faisant glisser ses doigts sur la guitare aux côtés de Steve Vai. Mais la personne qui va lancer sa carrière et la mettre en avant, c’est Carlos Santana. Le célèbre guitariste n’hésite pas, lors d’une interview, à dire au journaliste que s’il voulait un jour passer le bâton au moment de raccrocher, elle serait son premier choix. Pas mal quand on sait qu’il parle d’une jeune femme d’à peine 20 ans !



Elle sort son premier album, Violet Journey, en 2007 et… s’occupe de la quasi entièreté de l’album toute seule : guitares, voix, batterie… elle produit même l’opus elle-même !

Pour son second album, Believe, sorti en 2009, elle ne travaille plus seule et s’entoure notamment des producteurs Howard Benson et Ron Fair. Juste pour donner le ton, le premier a bossé avec Hoobastank, Sepultura et a à son actif l’album Three Cheers for Sweet Revenge, l’album qui a lancé la carrière de My Chemical Romance (qui est apparemment de retour après 7 ans d’absence !). Ron Fair, lui, a produit les morceaux Big Yellow Taxi des Counting Crows, Speechless de Lady Gaga ou encore plusieurs morceaux des Black Eyed Peas, période Fergie. Sur cet album, Orianthi retrouve Steve Vai pour Highly Strung. Ça chante pas mais waw, hein !



Pour son dernier album solo en date, baptisé Heaven in this Hell, elle travaille avec rien de moins que Dave Stewart. Oui oui LE Dave Stewart d’Eurythmics ! Sorti en 2013, il contient quelques chouettes pépites à se mettre sous la dent, dont la chanson-titre.
Parce que bon, faut quand même avouer… Orianthi, ce n’est pas qu’une paire de mains sur une guitare : du haut de son petit mètre 65, vocalement, c’est aussi du costaud ! Tenez, suffit de l’écouter au début de cette Heaven on Hell.   



Si je parle d’elle avec confiance et – avouons-le – une certaine admiration, c’est tout simplement parce que je l’ai déjà vue en action. Un jour de juillet 2012, au festival Suikkerock. Au-délà du côté un peu gag d’avoir deux Hells Angels qui nous ont proposé de tenir notre parapluie (et de s’y abriter par la même occasion) alors que toutes les vannes du ciel s’étaient ouvertes sur la grand place de Tirlemont, nous avons passé 2 bonnes heures en compagnie d’Alice Cooper et de ses musiciens. Dont elle. Dont j’ai difficilement pu détacher les yeux tellement je l’ai trouvée charismatique et envoutante. Et talentueuse. Son solo reste encore aujourd’hui un des meilleurs solos de guitare auxquels j’ai eu droit en des années de concerts. Et ça devait ressembler à quelque chose du genre :


Parce qu’un autre truc épatant chez elle, c’est le nombre de collaborations/sollicitations qu’elle a à son actif. Elle a collaboré à la reprise de Whole Lotta Love sur l’album éponyme des Hollywood Vampires (2015), à la superbe reprise de Stairway to Heaven sur l’album Stronger with Each Tear de Mary J. Blige ou encore au morceau Sleepwalker, sur le premier album d’Adam Lambert (2009).



En live, mis à part Alice Cooper que je viens de citer, elle apparait notamment en 2010 à une cérémonie d’hommage aux guitares Les Paul, aux côté de Rick Nielsen, le guitariste de Cheap Trick et Brian Ray, qui accompagne Paul McCartney depuis maintenant 20 ans. Johnny B. Goode, (I Can’t Get) No Satisfaction… Fun !



On la retrouve également e, 2017 aux côtés de Melissa Etheridge où elle rivalise de talent avec Miss E. et Lindsay Ell sur le classique You Can Rock Me Baby de BB King.



En 2014, elle rejoint Richie Sambora, l’ex-guitariste de Bon Jovi, pour sa tournée. De cette belle complicité naîtra le projet RSO (leurs initiales) et un chouette album, Radio Free America (2018).



Mais elle aurait aussi normalement dû avoir dans son CV un autre artiste, un Roi. Mais le destin en a décidé autrement. Et c’est ici que j’arrive avec le doublé dont j’ai parlé puisqu’une autre question de la Bagarre mentionnait Michael Jackson et nous demandait de choisir ce qui était pour nous la plus belle chanson de Thriller, réponse à laquelle j’ai volontairement triché en répondant que la plus belle chanson était la grande plage audio de 42:19, découpée en 13 parties.
En 2009, une prestation aux Grammys ouvre à Orianthi les portes de la prochaine tournée de Michael Jackson. Elle fera partie de l’équipe des musiciens et on la verra notamment répéter Beat It, le premier morceau de la face B de… Thriller.



Si les fans du King of Pop n’auront pas eu l’occasion de la voir gratter sur sa guitare, preuve est avec cet article qu’il existe bien d’autres artistes qui permettent d’apprécier son talent. Même si, finalement, Orianthi se suffit aussi très bien à elle-même grâce à sa voix et sa six cordes.

Orianthi est actuellement en train de travailler sur un nouvel album, qui sera sobrement baptisé O, avec Marti Frederiksen à la production. Sachant qu'il a notamment travaillé avec Aerosmith... ça promet!

Allez, je vous en remets une dernière pour la route : un trio entre Orianthi, Billy Gibbons des ZZ Top et une autre gonzesse dont le talent mérite teeeeellement qu’on aille y jeter un oeil, une autre ZZ, tiens : ZZ Ward.








mercredi 8 janvier 2020

L’histoire de... Clapton en mode pantouflard…


Dans les questions du jour de la séquence Bagarre dans la Discothèque d'Entrez Sans Frapper, on nous demandait la plus belle chanson qui évoque le plaisir d’être chez soi, en ce mois de janvier et après tous les excès des fêtes de fin d’année.

Plusieurs artistes sont certainement adéquats pour rester bien au chaud et au calme. Personnellement, je ne rechigne pas à l’une ou l’autre BO de Hans Zimmer, un bon Crowded House, voire un Knopfler, un Gilmour ou un BB King mais pour être honnête, pour être « bien », rien de tel qu’un Clapton. Plus précisément, les albums Pilgrim et Back Home, qui restent mes préférés du guitariste britannique. Le premier comporte notamment les bijoux Circus, Born in Time, Broken Hearted ou encore la superbe My Father’s Eyes. Comment résister ?





Dans la discographie de l’artiste, il en existe cependant une qui trouve sa source dans la maison. Ou plutôt dans le fait qu’il a failli ne jamais  sortir de son domicile pour aller là où l’attendait. En 1976, Eric Clapton, alors en couple avec Pattie Boyd, est invité par McCartney et Linda, son épouse, à une cérémonie d’hommage à Buddy Holly. Pattie ne sait pas comment s’habiller et se coiffer pour l’occasion et essaye la quasi entièreté de sa garde-robe, descendant à chaque essai pour montrer le résultat à son compagnon. Ce dernier donne à chaque fois la même réponse : « tu es superbe. Peut-on y aller maintenant ? »… avec pour seul résultat de la voir remonter pour un nouvel essayage. Blasé, Clapton attrape son instrument fétiche et passe le temps entre les différentes apparitions de Pattie. A la fin du défilé, Clapton a écrit une chanson, inspirée apr sa belle : « Wonderful Tonight ».



Il ne s’agit toutefois pas de la première chanson qu’il a écrit pour sa belle : Layla, l’héroïne de la chanson de Derek and the Dominos, c’est elle ! C’est également elle qui a inspiré, sur le même album, le titre Why Does Love Got To Be So Sad. A l’époque, Clapton est amoureux de la belle mais celle-ci est l’épouse d’un autre, à savoir un de ses plus proches amis… George Harrison. Elle refuse d’abord ses avances et le musicien encaisse mal le rejet et se console en prenant l’héroïne comme compagne. Pattie se laissera finalement séduire, notamment à cause des infidélités répétées du Beatles et entame une relation avec Clapton en 1974. Harrison n’en voudra d’ailleurs à aucun des deux puisqu’il acceptera de jouer à leur mariage et qu’il donnera à Clapton le surnom de « beau-mari ».
Le mariage Clapton-Boyd ne sera toutefois de tout repos : si Clapton a abandonné la drogue, il sombre doucement dans l’alcoolisme. De plus, le couple essaye à plusieurs reprises d’avoir un enfant, sans succès. La jeune femme fera d’ailleurs plusieurs fausses couches.

Le couple se séparera en 1988, après la révélation publique de la romance d’Eric avec la mannequin Lory Del Santo. Sa relation avec la jeune femme amènera le petit Connor dans la vie de Clapton, né en 1986. Le petit garçon est d’ailleurs à l’origine de la chanson Tears in Heaven. Ce morceau, co-écrit avec Will Jennings (qui écrira quelques années plus tard les paroles de la célèbre My Heart Will Go On), reste l’un des plus beaux de l’artiste en raison de son côté tragique puisqu’il évoque le décès accidentel de Connor, alors à peine âgé 4 ans. A partir de 2004, Clapton stoppera de la jouer en concert, expliquant qu’il n’en ressentait plus le besoin. En mai 2013, j’ai eu l’occasion de voir l’artiste au Royal Albert Hall et savait qu’il y avait donc aucune chance de l’avoir dans la setlist. Et pourtant… Une note, deux notes… et je l’ai reconnue de suite. Il s’est mis à la jouer. Et moi, je me suis mise à chialer comme une imbécile. Personnellement, Tears in Heaven reste une de ces chansons de Clapton qui me transpercent le cœur bien malgré moi. Dans des moments pareils, rien ne sert de lutter, faut se laisser aller…



Vous l’aurez compris ou vous le saviez déjà, Eric Clapton a donc connu un parcours de vie un peu compliqué. Né sans père en 1945, il a grandi dans une famille où on lui a fait croire pendant des années que ses grands-parents étaient ses parents. Celle qu’il considérait comme sa grande sœur était ainsi en réalité… sa propre mère. D’autres épisodes de vie, teinté de drogues, d’alcool et de cruelles désillusions auraient pu anéantir le merveilleux magicien qu’il est. Il fait pourtant partie de ces musiciens ont survécu à tout.

En 1998, il rencontre Melia McEnery, de 31 ans sa cadette, dont il tombe amoureux. Ils se marient en 2002 et de cette union naîtront 3 petites filles. Lorsque Melia est enceinte de Sophie, la petite dernière, Clapton a alors 59 ans. A ce moment-là, il travaille sur Back Home, un nouvel opus. Cet album, c’est tout bonnement l’illustration du bonheur. Il y parle de son bébé, de ce qu’il cherchait depuis longtemps et qu’il a enfin trouvé. Et mérité. Plus tout jeune et déjà une belle carrière derrière lui, il est clair qu’il souhaite voir grandir ses filles et passer un maximum de temps près d’elles. Alors, pour cette raison, c’est cet album qui est le plus beau pour du cocooning. En particulier la chanson-titre, Back Home.



Aujourd’hui, Eric Clapton tourne encore autour du monde mais plus autant que par le passé. Il continue aussi à sortir des albums. Aujourd’hui âgé de 74 ans, il souffre de soucis au niveau des nerfs, ce qui rend parfois douloureux le simple fait de jouer de la guitare. Il reconnait aussi connaître quelques problèmes d’auditions qui sont un sérieux handicap pour un musicien qui a appris à jouer d’oreille. J’ai eu la chance de voir Clapton 4 fois sur scène et n’hésiterai pas une seconde à le revoir une cinquième fois. Parce qu’il s’agit toujours d’un moment unique, où le voir interagir avec un sacré paquet de bons musiciens reste un vrai plaisir. Mais aussi parce qu’il s’est promis à lui-même qu’il arrêterait la scène dès qu’il aura le sentiment d’y être ridicule. Et sur ce point, je pense qu’on peut lui faire confiance. Après tout, quand le « God » de la musique te dit quelque chose et que ta religion, ce sont des notes de musique, tu le crois.

Pour l'émission du jour, c'est ici




lundi 4 mars 2013

Stereophonics - Graffiti On The Train (2013) ENGLISH


Aaah dear friends, four years of absence is a VERY long time when you care about someone: Stereophonics’ last album, “Keep Calm And Carry On”, was released in 2009 and – although I ended up appreciating this one as much as the band’s other albums – it took me a few more times listening to it to fully do so.

More than a year ago, I got some information that the band was back in the studio to record a new album. Even more interesting, I found out they were actually partly recording it in my sweet little country of Belgium (sometimes, little things like that makes you even prouder of being Belgian, trust me!). If I had been some kind of “groupie”, I’d have headed straight to ICP Studios in Brussels ‘cos I was almost sure this was THE studio they were hiring. Wasn’t wrong… Wasn’t “groupie” enough to sit in front of the studio entrance waiting for the guys to show up though… Mostly because I firmly believe that artists who are in creating process should be left alone to work in the most peaceful atmosphere ever possible.
Speaking of working peacefully, Stereophonics parted ways with V2 and have now their own label, named “Stylus Records”, therefore allowing them to do things their own way. Fun fact: if the band got its its name from a… “stereophonic” radiogram they saw at Stuart Cable’s family home (the band’s first drummer that sadly passed away in 2010), their label has also the name of another musical item. The stylus is the part of the record deck with the needle, the one that actually helping the music escaping from your LPs and fly to your ears… Enough with technical stuff, let’s come back to the album, shall we?


"Graffiti On The Train" cover... Look for the "Stylus" mention... ;)
Original art by Stephen Goddard
  
Last October, we were finally able to have a sneak peek at this new album thanks to its first single, “Violins And Tambourines”. A haunting musical piece, gaining power as seconds go by… whether it is musically or vocally. Strings added some depth to the track: needless to say that getting a little help from David Arnold, one of the finest film composers of England (Stargate, Shaft, Hot Fuzz as well as James Bond’s Tomorrow Never Dies, Casino Royale, Quantum of Solace and many more…), was quite an asset for a track like this one… Although Stereophonics is more “guitar-ish” than strings, this song was very promising and I was eager to listen to more songs from this new album…
 

 

The next single “In A Moment” sounded more like a Stereophonics song than the previous one and had that common point to many of their songs : a melody that sticks inside your head for quite a while… The “You think you’ve it all, the writing’s on the wall […] in a moment” melody part has that musical side… It is also impossible not to mention the great guitar solo near the end. So, I was totally into this one as well…  

Could they do better with the next single? At some point, the excitement has to fall down, right? Well… then came “Indian Summer”. I already wrote on how a song can affect you within seconds, turn your musical heart upside down and bring that electric shiver that spreads through your entire body… some kind of physical reaction to something you can barely explain yourself. Well… that did happen to me the first time I listened to “Indian Summer”. This one is a pure diamond: you can see its beauty on a global scale but if you lean a little bit and look closer, you may see little details that make it even more beautiful… Try this: take each instrument on this one and listen very closely to each one of them and you may realize how much the acoustic or slide guitar part or piano parts were necessary to add a little something to make “Indian Summer” so perfect.
The irony in this song is that the subject is not really a happy one but that I always have a smile on my face while listening to it because of its beautiful melody… That one was also the one I was waiting for a long time to feel better as the few weeks before its release had put me in some “high pressure and close to despair” state of mind. Now gone. Never been a fan of summer time but this one’s a good one!

 
 
 

These three tracks were so great that waiting for the album became kind of a torture… but FI-NA-LLY, here comes the 4th of March and “Graffiti On The Train”! 

Needless to say I was so much in love with “Indian Summer” that I was a bit worried I couldn’t stop listening to that one and give the album’s other songs the best attention they fully deserved. These songs really had to have a great deal of “something more” to take me away from “Indian Summer”. Did they have that little “something more”? The answer is… YES!! HELL, YES! 

As soon as you listen to “We Share The Same Sun”, it is obvious the Stereophonics guys haven’t lost any of their great energy. Critics have sometimes labeled the band a pop-rock band and I never understood from where they’d gotten that. Sure, tracks like “Have A Nice Day” (Just Enough Education to Perform, 2001) or “Innocent” (Keep Calm And Carry On, 2009) have a more pop side but come on, identifying Stereophonics as a “pop” band??? Those critics should take a moment to listen to “We Share The Same Sun” and the great “Catacomb” with its powerful guitar part to realize that they rock…  That long instrumental part in “Catacomb” is definitely one of the best they’ve ever composed! Really hard not to get up and start dancing around with your hands up in the air. Believe me… I’ve tried.  

Stereophonics is a rock band but let’s admit though that the Welsh band also has a softer side … “Been Caught Cheating” is a nice bluesy track that helps us remember how much this music genre is one of the finest ways to tell the world about the saddest events of a human’s life. Aaaaw, that one played in duet with the great B.B. King would be such a fine piece of art.
“No-one’s Perfect”? Right but there’s at least one thing perfect in there… the song itself. That one is a nice ballad, with limited number of instruments: no strong guitar riffs, no strings orchestra… Basically just enough stuff to put Mister Jones’ voice on the front stage.  

The Welsh singer’s distinctive voice has always been an element of the band’s high effectiveness and is one of the band’s trademark. I like Stereophonics’ melodies but Kelly’s voice is also a reason of why I love this band. Whether it’s a rock song or a ballad, the guy has this great ability to bring the right vocal power to make the song sounds just exactly as it should be. I’ve watched God knows many videos and I’ve never seen him failing or missing a part: he perfectly knows his voice and how to use it and as a fan of music, it’s always an amazing thing to watch and listen to… Of course, Kelly Jones writes most of the band’s songs and therefore knows in which direction he can vocally go or which one he must not take but when I listen to him, I have that weird feeling he could take US anywhere HE wants…
Drop all the arrangements, give the man just a guitar and he’s able to turn any song into something different, something that is even more beautiful than the one version we’ve always known… Just check “Maybe Tomorrow” on the “Live From Dakota” album and you may understand what I’m talking about… 

 

“Graffiti On The Train”, the title song, left me… speechless. Air cut in my throat. There’s something incredibly overwhelming and emotional coming out of that song … Oh don’t get me wrong: I know the arrangements are a big part of it but still… It’s not only the melody; it’s also the story that is being told… It’s also that solo guitar near the end followed by some piano: a fine peak for an emotional moment… At some point, I realized that maybe… maybe Mr. Gilmour and Mr. Wright from Pink Floyd could have enjoyed themselves if they were able to play that one together. But of course, Stereophonics and Pink Floyd are two different worlds… Although… There was a time when Kelly Jones was writing songs about things happening in his life or events he witnessed in his entourage (Mr Writer, Have A Nice Day and Rainbows And Pots Of Gold are some of those…) but he recently mentioned he now doesn’t need much “real facts” to write stories/songs. Therefore, you can only wonder if he really met a girl on a train during Indian summer and ended up with the lady or if he knew that couple of “Graffiti On The Train”. But in the end… maybe it’s not worth knowing the truth or where these words came from. All we need is let these songs bring up our emotions and… just… feel.

I mentioned earlier the haunting side of “Violins And Tambourines” but there’s also something quite attractive to “Take Me”, that male/female vocal combination gives more credit to the song than if it had been a single-singer one. 

“Roll The Dice” was a trap I fell into without seeing it coming. Oh it’s OK, it only took me 48 seconds before finding out that things weren’t what they were at first… It’s like… It’s like rolling a dice and having a nice ballad and rolling it again 48 seconds later and finally getting a good rock song. You got me there, boys!
“Roll The Dice” also gives me the opportunity to mention that Stereophonics is not only Kelly Jones but a whole band made of four individuals: Richard Jones, original member of the band and childhood friend of Jones, is the tall but discreet bassist whose bass lines are always appreciated and exactly in the right place into a song; Adam Zimbani has brought his own experience and talent as a guitarist (and vocalist!) since his arrival in the band in 2007… Javier Weyler, Cable’s replacement since his departure in 2003, left the band in September 2012 and was replaced by Jamie Morrison. Jamie may be the “rookie” of the band but from what I’ve heard while listening to “Graffiti On The Train”, I’m not worried, the drummer perfectly fits into Stereophonics’ world.
Update of 8th March: now that I have received my physical copy of “Graffiti On The Train”’s Limited Edition, it appears that Javier Weyler was still in the band when they recorded the album. Aaaah the wonderful side of buying an album on iTunes… For the record (!) though, Jamie plays on the stripped version of “Graffiti On The Train” on the bonus CD.


I don’t count miles when it comes to see artists live but sadly, I’ve never seen Stereophonics on a stage. Which is a shame considering the number of years I’ve liked them, I know. As soon as I heard about their new album, I was ready to buy tickets but… no Belgian dates announced. Which is a shame too considering they recorded “Graffiti On The Train” in Belgium. Damn! 

But… 

Sometimes, the most surprising things happen to you when you don’t expect them. Just know I may tell you a little more about the band very soon… 

Anyway… It is worth here and now to write that over the course of years and despite the lineup changes, Stereophonics has never failed me when it came to realize that there will always be good music around. Never. As long as these guys – and a few others, of course – will be there, I’m safe in my little musical world. And I DO need that.

PS – this article would DEFINITELY not be complete if I didn’t mention that “Violins And Tambourines”, “In A Moment” and “Indian Summer” videos were all directed by Kelly Jones. The band’s singer has never hid his passion for movies and scriptwriting; he even studied those in college. Now I can’t help but wonder what he could do if he was to turn the script he has written into a long-form movie … but we’ll still have to wait for that. For now it’s music time for the Stereophonics’ singer.

 
 
 

Tracklist :
We Share The Same Sun
Graffiti On The Sun
Indian Summer
Take Me
Catacomb
Roll The Dice
Violins And Tambourines
Been Caught Cheating
In A Moment
No-one’s Perfect

Bonus Tracks iTunes version
Zoe
Graffiti On The Train (Stripped)
In A Moment (Remix) 

Limited edition – Second CD
Overland
In A Moment (alternative version)
We Share The Same Sun (Up Close)
Indian Summer (Up Close)
Graffiti On The Train (Stripped)
In A Moment (Remix)

 

Stereophonics - Graffiti On The Train (2013) FRENCH


Aaah mes chers amis, quatre ans d’absence est un LONG moment lorsque l’on tient à quelqu’un: « Keep Calm And Carry On », le dernier album des Stereophonics est sorti en 2009 et – bien que j’aie fini par l’apprécier autant que les autres albums du groupe – il m’a fallu l’écouter à plusieurs reprises avant d’en apprécier toute la valeur. 

Il y a un peu plus d’un an, je lisais que le groupe était de retour en studio pour enregistrer un nouvel album. Fait encore un peu plus intéressant, je découvrais qu’ils enregistraient une partie de cet album dans mon tout petit pays, la Belgique (parfois, de petites choses de ce genre vous rendent encore un peu plus fière d’être belge, croyez-moi !). Si j’étais du genre « groupie », j’aurais cavalé jusqu’au Studios ICP à Bruxelles parce que j’étais presque certaine que c’était LE studio qu’ils avaient loué. M’était pas trompée… N’était cependant pas assez « groupie » que pour aller m’asseoir devant l’entrée des studios et attendre que les garçons en sortent… Principalement parce que je pense fermement que l’on doit laisser tranquille des artistes lorsqu’ils sont en plein processus de création.
En parlant de tranquillité, les Stereophonics se sont séparés de leur maison de disques, V2, et ont à présent leur propre label, baptisé « Stylus Records », leur permettant en conséquence de faire les choses comme ils le veulent. Anecdote amusante : si le groupe tire son nom d'un "radiogram" stéréophonique (un meuble comportant à la fois radio et tourne-disque) qu'ils avaient vu au domicile familial de Stuart Cable (premier batteur du groupe malheureusement décédé en 2010), leur label porte également le nom d'un élément musical. En anglais, le "stylus" est la tête de lecture du tourne-disque, la partie qui contient l'aiguille, l'élément qui permet à la musique de s'évader de vos disques et de s'envoler vers vos oreilles... Mais assez de considérations techniques, revenons à l'album, voulez-vous ?
 
La couverture de "Graffiti On The Train"... Cherchez après la mention "Stylus"... ;)
Peinture de Stephen Goddard
 

En octobre dernier, nous étions enfin en mesure d’avoir un aperçu de ce nouvel album grâce à son premier single « Violins  And Tambourines ». Un envoûtant morceau musical, de plus en plus puissant au fur et à mesure des secondes et ce, tant au niveau musical que vocal. Une section cordes ajoute de la profondeur au morceau : il va sans dire que le petit coup de pouce de David Arnold, un des compositeurs de musiques de film des plus prisés d’Angleterre (Stargate, Shaft, Hot Fuzz ainsi que les bandes originales de films James Bond, Tomorrow Never Dies, Casino Royale, Quantum of Solace et bien d'autres encore…) reste un atout indéniable pour un morceau tel que celui-ci… Bien que Stereophonics soit plus un groupe à cordes de guitares qu’à cordes philarmoniques, cette chanson avait quelque chose de prometteur et j’étais impatiente d’entendre d’autres chansons de cet album…
 
 

Le single suivant, “In A Moment”, avait une sonorité plus commune au son habituel du groupe que son prédécesseur et comportait ce point commun à beaucoup de chansons de Stereophonics : une mélodie qui s’installe dans votre tête pour un sacré bout de temps. La partie « You think you’ve it all, the writing’s on the wall […] in a moment » illustre parfaitement cet aspect musical… C’est aussi impossible de ne pas mentionner ce très chouette solo de guitare vers la fin de la chanson. J’étais donc tout à fait emballée par ce morceau-là également… 

Pouvaient-ils faire mieux avec le prochain single ? A un moment donné, l’engouement doit bien retomber, non ? Et bien… arriva alors « Indian Summer ». J’ai déjà écrit à quel point une chanson peut vous affecter en l’espace de quelques secondes, mettre sens dessus-dessous votre cœur musical et provoquer ce frisson électrique qui se déploie à travers tout le corps… une espèce de réaction physique à quelque chose que l’on ne peut pas forcément expliquer nous-mêmes. Et bien… cela m’est arrivé lorsque j’ai écouté «  Indian Summer » pour la première fois. Ce morceau est un pur diamant : on peut en voir toute la beauté d’une manière générale mais si on se penche un peu plus dessus et qu’on la regarde de plus près, on peut y voir les petits détails qui font qu’elle est encore plus belle… Essayez ceci : prenez chaque instrument sur celle-ci et écoutez bien attentivement chacun d’entre eux et vous réaliserez à quel point les parties de guitare acoustique ou slide ou de piano étaient nécessaires pour ajouter un petit quelque chose pour faire d’ « Indian Summer » un morceau parfait.
Il y a tout de même une sacrée ironie dans cette chanson dont le sujet n’a rien de joyeux mais qui me donne le sourire à chaque écoute à cause de cette agréable mélodie… C’est aussi la chanson que j’attendais depuis un sacré bout de temps pour me sentir un peu mieux puisque les quelques semaines précédant sa sortie m’avaient plongée dans un état d’esprit en mode « sous pression et proche du désespoir ». Maintenant disparu. Jamais été fan de l’été mais cet été-là est sacrément efficace !
 

 

Ces trois morceaux étaient pour moi tellement bons qu’attendre l’album est devenu une vraie torture… mais EN-FIN, voici arrivé le 4 mars et « Graffiti On The Train »

Pas besoin de dire que j’étais tellement tombée amoureuse d’ « Indian Summer » que j’étais un peu inquiète à l’idée de ne pouvoir m’en détacher et de ne pas accorder toute l’attention méritée aux autres morceaux. Ces chansons se devaient dès lors d’avoir une sacrée dose de « ptit truc en plus » pour m’éloigner de « Indian Summer ». Avaient-elles ce « ptit truc en plus » ? Et la réponse est… OUI !! AH LA VACHE, OUI ! 

Dès que l’on écoute « We Share The Same Sun », c’est evident que les garcons de Stereophonics n’ont en rien perdu leur énergie. Les critiques ont souvent qualifié le groupe comme pop-rock et je n’ai jamais compris d’où ils tiraient cela. Certes, des morceaux tels que « Have A Nice Day » (Just Enough Education to Perform, 2001) ou « Innocent » (Keep Calm And Carry On, 2009) ont un côté plus pop mais enfin voyons, identifier Stereophonics comme groupe “pop”??? Ces critiques feraient bien de prendre un moment pour écouter « We Share The Same Sun » et l’incroyable « Catacomb » avec sa puissante partition de guitare pour réaliser que ce groupe est rock… Cette longue partie instrumentale dans « Catacomb » est définitivement l’une des meilleures qu’ils aient composée ! Difficile de ne pas se lever et de commencer à danser en levant les mains en l’air. Croyez-moi… J’ai essayé. 

Stereophonics est un groupe rock mais reconnaissons cependant que le groupe gallois sait aussi montrer un côté plus doux… « Been Caught Cheating » est un morceau un peu blues qui nous aide à nous rappeler à quel point ce style musical est l’un des meilleurs moyens de raconter au monde les plus tristes événements dans la vie d’un être humain. Aaaaah celle-là jouée en duo avec le talentueux B.B. King serait de toute beauté.

« No-one’s Perfect » ? Personne n’est parfait ? Absolument mais il y a au moins une chose parfaite ici… la chanson en elle-même. Ce morceau est une belle ballade, avec un nombre limité d’instruments : pas de riff costauds de guitares, pas d’orchestre… Juste les éléments qu’il faut pour mettre à l’avant-plan la voix de Mister Jones. 

La voix bien identifiable du chanteur gallois a toujours été un élément important de l’efficacité du groupe et en reste une marque de fabrique. J’aime les mélodies des Stereophonics mais la voix de Kelly est aussi l’une des raisons pour lesquelles j’aime ce groupe. Que cela soit sur un morceau bien rock ou sur une ballade, ce type a cette incroyable faculté de lâcher le niveau adéquat de puissance vocale pour qu’elle soit exactement comme il faut. J’ai regardé Dieu sait combien de vidéos et je ne l’ai jamais vu se rater ou flancher sur un morceau de chanson : il connait parfaitement sa voix et comment l’utiliser à bon escient et pour un fan de musique, c’est toujours un régal pour les yeux et les oreilles… Bien entendu, Kelly Jones écrit la plupart des chansons du groupe et sais en conséquence dans quelle direction il peut aller vocalement parlant et où il ne doit pas aller mais lorsque je l’écoute chanter, j’ai toujours le sentiment qu’il pourrait nous emmener où LUI veut…
Laissez tomber les arrangements, donnez juste une guitare à ce type et il va vous transformer n’importe quelle chanson en quelque chose de différent, quelque chose qui sera encore plus beau que la version que l’on a toujours connue… Allez écouter « Maybe Tomorrow » sur l’album « Live From Dakota » et vous comprendrez probablement de quoi je parle…
 

 

« Graffiti On The Train », la chanson-titre, m’a laissée… sans voix. Plus d’air dans la gorge. Il y a quelque chose d’incroyablement émouvant qui ressort de cette chanson et qui vous submerge… Oh ne vous méprenez pas : je sais que les arrangements y sont pour beaucoup mais tout de même… Ce n’est pas uniquement une question de mélodie ; c’est aussi cette histoire… C’est aussi ce solo de guitare vers la fin de la chanson suivi de la mélodie de piano : un pic musical dans un moment d’émotion… A un moment donné, j’ai réalisé que peut-être… peut-être que Messieurs Gilmour et Wright de Pink Floyd auraient pu s’en donner à cœur joie s’ils avaient pu jouer cette chanson ensemble. Mais bien entendu, Stereophonics et Pink Floyd sont deux mondes différents… Bien que…
A une époque, Kelly Jones écrivait des chansons avec pour sujets des choses qui lui arrivaient à lui ou des événements dont il avait été le témoin (Mr Writer, Have A Nice Day and Rainbows And Pots Of Gold font partie de ces chansons…) mais il a récemment signalé qu’il n’avait désormais plus vraiment besoin de « faits réels » pour écrire ses histoires/chansons. En conséquence, on peut se demander s’il a réellement rencontré une fille dans un train en plein été indien et s’il a fini par avoir une relation avec la demoiselle ou s’il connaissait le couple de « Graffiti On The Train ». Mais au bout du compte… peut-être que la vérité ou l’origine de ces mots importe peu. Tout ce dont nous avons besoin, c’est que ces chansons fassent ressortir nos émotions et nous aident à… ressentir des choses. 

J’ai mentionné plus haut le côté envoûtant de « Violins  And Tambourines » mais il y a également quelque chose d’intrigant dans « Take Me », ce duo voix masculine/féminine donne à la chanson un cachet supplémentaire qu’elle n’aurait pas eu si elle avait été chantée par une seule personne. 

« Roll the Dice » est un piège dans lequel je suis tombée sans même le voir arriver. Oh ne vous inquiétez pas, il ne m’aura fallu que 48 secondes avant de découvrir que les choses n’étaient pas telles qu’elles semblaient l’être au départ… C’est comme… c’est comme lancer un dé et avoir une belle ballade et le relancer 48 secondes plus tard pour finalement obtenir une bonne chanson bien rock. Vous m’avez bien eue les gars !
« Roll the Dice » me donne l’opportunité de mentionner que Stereophonics, ce n’est pas uniquement Kelly Jones mais un groupe à part entière constitué de quatre membres : Richard Jones, membre originel du groupe et ami d’enfance de Jones, est le grand mais discret bassiste dont les lignes de basse sont toujours appréciées et à leur place dans chaque chanson ; Adam Zimbani a su apporter sa propre expérience et ses talents de guitariste et chanteur dès son arrivée au sein du groupe en 2007… Javier Weyler, remplaçant de Cable après son départ en 2003, a quitté le groupe en septembre 2012 et a été remplacé par Jamie Morrison. Jamie est peut-être le « bleu » du groupe mais de ce que j’ai pu entendre en écoutant « Graffiti On The Train », je ne suis pas inquiète, le batteur a tout à fait sa place dans l’univers des Stereophonics. 
Update du 8 mars : j’ai à présent reçu ma version CD de l’édition limitée de « Graffiti On The Train » et il s’avère que Javier Weyler faisait toujours partie du groupe lorsqu’ils ont enregistré l’album. Aaaah ce côté merveilleux d’acheter un album via iTunes… Toutefois, pour information, Jamie joue sur le morceau « Graffiti On The Train » (Stripped) du CD bonus.

Je ne compte pas les kilomètres lorsqu’il s’agit d’aller voir les artistes en live mais malheureusement, je n’ai jamais vu les Stereophonics sur une scène. Ce qui est honteux si on prend en considération le nombre d’années que je les apprécie, j’en ai bien conscience. Dès que j’ai entendu parler de ce nouvel album, j’étais toute prête à acheter mes billets mais… aucunes dates belges annoncées. Ce qui est honteux si on prend en considération le fait qu’ils ont enregistré « Graffiti On The Train » en Belgique. Zut alors ! 

Mais… 

Parfois, des choses surprenantes vous arrivent au moment où vous vous y attendez le moins. Sachez seulement que je devrais être en mesure de vous en dire encore un peu plus sur le groupe d’ici peu… 

Quoi qu’il en soit… Cela vaut la peine d’écrire ici et maintenant que, au fil des ans et malgré les changements de line up, les Stereophonics ne m’ont jamais déçue lorsqu’il s’agissait de réaliser qu’il y aurait toujours de la bonne musique. Tant qu’ils – eux et quelques autres, bien sûr – seront là, je serai en sécurité dans mon petit monde musical. Et j’ai VRAIMENT besoin de ça. 

PS – cet article ne serait pas complet si j’oubliais de mentionner que les vidéos de « Violins And Tambourines », « In A Moment » et « Indian Summer » ont toutes été réalisées par Kelly Jones. Le chanteur n’a jamais caché sa passion pour le cinéma et l’écriture de scénarios ; il a même étudié ces matières au collège. Je ne peux m’empêcher de penser à ce qu’il pourrait faire s’il était amené à donner vie au scénario qu’il a écrit et en réaliser un long-métrage… mais nous devrons encore attendre un peu pour cela. Car pour l’instant, c’est place à la musique pour le chanteur des Stereophonics.
 

 

Tracklist :
We Share The Same Sun
Graffiti On The Train
Indian Summer
Take Me
Catacomb
Roll The Dice
Violins And Tambourines
Been Caught Cheating
In A Moment
No-one’s Perfect 

Bonus Tracks iTunes version
Zoe
Graffiti On The Train (Stripped)
In A Moment (Remix) 

Limited edition – Second CD
Overland
In A Moment (alternative version)
We Share The Same Sun (Up Close)
Indian Summer (Up Close)
Graffiti On The Train (Stripped)
In A Moment (Remix)