J’avais écrit, dans ma critique de
“Graffiti On The Train” que parfois, des choses incroyables peuvent vous
arriver… Il y a deux semaines, je passais le temps sur Facebook lorsqu’une de
mes amies est apparue et m’a annoncé que les Stereophonics joueraient au Studio
SFR en concert privé. Elle m’a également demandé si je serais intéressée d’y
aller et il ne m’a fallu que 4 secondes pour répondre : une seconde pour
chaque lettre qui compose le mot « OUI », suivi du point
d’exclamation. Le fait que ma présence soit peut-être requise au bureau (un des
inconvénients de ne PAS travailler dans un domaine musical) m’a traversé
l’esprit mais précisément à ce moment-là, autant vous dire que je m’en souciais
fort peu… Fort heureusement, le planning fut tellement parfait que je fus en
mesure de pouvoir me rendre au concert. Attention, Paris, me voilà !
Après avoir déposé nos sacs à l’hôtel, nous partons pour la radio afin de prendre les précieux billets qui nous permettront d’entrer dans la salle plus tard dans la journée. Avant le concert, nous nous promenons dans Paris et admirons les fantastiques monuments et ponts de la ville tout en parlant de nos artistes favoris… Marcher ouvrant l’appétit, nous décidons de manger un morceau avant de nous rendre au Studio SFR où des fans attendent déjà l’ouverture des portes…
Alors… nous voici à l’intérieur du Studio SFR et ma première impression est que nous allons définitivement passer un moment exceptionnel déjà rien qu’à voir la taille de la salle. Ce n’est pas tous les jours que l’on peut assister à un concert dans une salle aussi petite. Il s’avèrera que seuls 120 chanceux maximum pourront être le témoin du grand retour de Stereophonics.
Après avoir déposé nos sacs à l’hôtel, nous partons pour la radio afin de prendre les précieux billets qui nous permettront d’entrer dans la salle plus tard dans la journée. Avant le concert, nous nous promenons dans Paris et admirons les fantastiques monuments et ponts de la ville tout en parlant de nos artistes favoris… Marcher ouvrant l’appétit, nous décidons de manger un morceau avant de nous rendre au Studio SFR où des fans attendent déjà l’ouverture des portes…
Alors… nous voici à l’intérieur du Studio SFR et ma première impression est que nous allons définitivement passer un moment exceptionnel déjà rien qu’à voir la taille de la salle. Ce n’est pas tous les jours que l’on peut assister à un concert dans une salle aussi petite. Il s’avèrera que seuls 120 chanceux maximum pourront être le témoin du grand retour de Stereophonics.
La scène : avant le concert, vérification par le guitar tech |
20h30, après une courte introduction,
le groupe arrive sur scène. Comme à leur habitude, Adam Zindani et Richard
Jones se tiennent respectivement à gauche et à droite de la scène tandis que
Kelly Jones prend position au centre. Dans le coin gauche et derrière Kelly se
tiennent leur claviériste (Tony Kirkham, j’imagine) et Jamie Morrison, le
nouveau batteur de Stereophonics.
Le groupe démarre sa prestation avec leur dernier single en date, « Indian Summer ». Cette version est un juste milieu entre la version vidéo et la version disponible sur YouTube baptisée « Secret Sessions » où Kelly joue la chanson seul avec sa guitare. La chanson est bien entendu dépouillée de toute la partie orchestre et ressemble ce soir plus à une ballade qu’au morceau énergique de l’album mais n’en est pas moins aussi belle. Cette version nous donne l’occasion d’encore mieux apprécier toutes les parties guitares (qu’elle soit acoustique ou électrique), qui reste probablement mon côté préféré de cette chanson… Grandiose et un bon moyen de commencer la soirée.
Le groupe joue alors une de ses chansons les plus connues, « Maybe Tomorrow ». Ce morceau a toujours eu une rythmique permettant à n’importe quel esprit tourmenté de trouver un peu de repos. Son solo de guitare reste toujours grandement apprécié et les fans le font d’ailleurs savoir au groupe en criant, amenant un sourire sur le visage de Kelly tandis que les doigts d’Adam glissent sur les cordes de sa guitare.
Ils interprètent alors la chanson-titre de leur nouvel album : « Graffiti on the Train ». J’avais écrit dans ma critique à quel point cette chanson m’avait touchée mais j’étais loin d’imaginer comment les choses se passeraient une fois que j’aurais le groupe en train de la jouer sous mes yeux. Je confirme que cette chanson est un pur bijou… Sous un éclairage blanc, Kelly chante quasiment toute la chanson les yeux fermés, complètement concentré sur l’histoire de ces deux amoureux. Les parties guitare et piano à la fin de la chanson sont juste parfaites et j’avoue avoir été émue pendant une fraction de seconde lorsque M. Jones a chanté ‘The train sped down the line, it was the last train he would ride’. A ce moment précis et encore plus maintenant, je réalise pleinement à quel point prendre ce titre pour titre de l’album était la meilleure des choses à faire.
Petit retour dans le passé avec « Just Looking » de leur album « Performance and Cocktails » (1999) avant de revenir au nouvel album avec « Been Caught Cheating ». La plupart de mes amis qui ont écouté l’album considèrent celle-là comme une de leurs favorites : admettons-le, le blues va très bien aux Stereophonics. Tandis que Richard bouge son corps en rythme avec la chanson, nous apprécions le moment et je réalise que, bien que Kelly Jones ai au départ écrit cette chanson en pensant la proposer à Amy Winehouse, sa voix colle parfaitement au morceau. Le solo d’Adam est encore une fois parfait et apporte une profondeur supplémentaire à la chanson. J’avais apprécié « Been Caught Cheating » lors de ma première écoute de Graffiti et ce n’était cependant pas ma chanson numéro 1 de l’album mais… après ce soir, j’imagine bien cette dernière comme éventuel futur single.
Le groupe démarre sa prestation avec leur dernier single en date, « Indian Summer ». Cette version est un juste milieu entre la version vidéo et la version disponible sur YouTube baptisée « Secret Sessions » où Kelly joue la chanson seul avec sa guitare. La chanson est bien entendu dépouillée de toute la partie orchestre et ressemble ce soir plus à une ballade qu’au morceau énergique de l’album mais n’en est pas moins aussi belle. Cette version nous donne l’occasion d’encore mieux apprécier toutes les parties guitares (qu’elle soit acoustique ou électrique), qui reste probablement mon côté préféré de cette chanson… Grandiose et un bon moyen de commencer la soirée.
Le groupe joue alors une de ses chansons les plus connues, « Maybe Tomorrow ». Ce morceau a toujours eu une rythmique permettant à n’importe quel esprit tourmenté de trouver un peu de repos. Son solo de guitare reste toujours grandement apprécié et les fans le font d’ailleurs savoir au groupe en criant, amenant un sourire sur le visage de Kelly tandis que les doigts d’Adam glissent sur les cordes de sa guitare.
Ils interprètent alors la chanson-titre de leur nouvel album : « Graffiti on the Train ». J’avais écrit dans ma critique à quel point cette chanson m’avait touchée mais j’étais loin d’imaginer comment les choses se passeraient une fois que j’aurais le groupe en train de la jouer sous mes yeux. Je confirme que cette chanson est un pur bijou… Sous un éclairage blanc, Kelly chante quasiment toute la chanson les yeux fermés, complètement concentré sur l’histoire de ces deux amoureux. Les parties guitare et piano à la fin de la chanson sont juste parfaites et j’avoue avoir été émue pendant une fraction de seconde lorsque M. Jones a chanté ‘The train sped down the line, it was the last train he would ride’. A ce moment précis et encore plus maintenant, je réalise pleinement à quel point prendre ce titre pour titre de l’album était la meilleure des choses à faire.
Petit retour dans le passé avec « Just Looking » de leur album « Performance and Cocktails » (1999) avant de revenir au nouvel album avec « Been Caught Cheating ». La plupart de mes amis qui ont écouté l’album considèrent celle-là comme une de leurs favorites : admettons-le, le blues va très bien aux Stereophonics. Tandis que Richard bouge son corps en rythme avec la chanson, nous apprécions le moment et je réalise que, bien que Kelly Jones ai au départ écrit cette chanson en pensant la proposer à Amy Winehouse, sa voix colle parfaitement au morceau. Le solo d’Adam est encore une fois parfait et apporte une profondeur supplémentaire à la chanson. J’avais apprécié « Been Caught Cheating » lors de ma première écoute de Graffiti et ce n’était cependant pas ma chanson numéro 1 de l’album mais… après ce soir, j’imagine bien cette dernière comme éventuel futur single.
© Sound of Violence (Photographer : Mauro Melis) |
Kelly explique à présent au public
que la chanson qu’ils vont jouer est le premier single qu’ils ont sorti, en
1997 : « Local Boy in the Photograph ». C’est alors que je
remarque l’aspect particulier de la guitare d’Adam : une six cordes qui
pourrait probablement nous raconter pas mal d’histoires car elle semble avoir
quelques heures au compteur. La couleur a disparu sur le côté supérieur gauche
et a laissé place au bois nu. Aaaah les garçons et leur guitare.
Je remarque également que Kelly a joué toutes les chansons à l’aide d’une guitare acoustique depuis le début du concert, laissant la partie guitare électrique. Cela sera le cas pour tout le set.
Vous vous souvenez que j’avais écrit que Kelly Jones ne se ratait jamais lorsqu’il s’agissait de chant ? Plus jamais je n’écrirai cette ligne… elle porte malheur puisque… il s’est raté ce soir-là ! Je ne suis cependant pas certaine que beaucoup de personnes l’aient remarqué et je n’en étais moi-même pas certaine jusqu’à ce que je voie les larges sourires d’Adam et Richard. Cela n’a duré qu’une fraction de seconde mais lorsque j’ai vu ces deux-là sourire, j’ai su que quelque chose avait cloché. A mon sens, c’est l’un des côtés sympas des concerts : au moins, on sait que ce qu’on voit (et entend !) est « réel ». Quoi qu’il en soit, cette anecdote a aussi montré à quel point ces gars-là s’entendent bien : il ne faut parfois qu’un regard entre eux pour qu’ils se comprennent ou envoyer un message silencieux qui peut seulement être décrypté par un membre de Stereophonics. J’ai adoré ce moment plein de complicité entre eux !
Je remarque également que Kelly a joué toutes les chansons à l’aide d’une guitare acoustique depuis le début du concert, laissant la partie guitare électrique. Cela sera le cas pour tout le set.
Vous vous souvenez que j’avais écrit que Kelly Jones ne se ratait jamais lorsqu’il s’agissait de chant ? Plus jamais je n’écrirai cette ligne… elle porte malheur puisque… il s’est raté ce soir-là ! Je ne suis cependant pas certaine que beaucoup de personnes l’aient remarqué et je n’en étais moi-même pas certaine jusqu’à ce que je voie les larges sourires d’Adam et Richard. Cela n’a duré qu’une fraction de seconde mais lorsque j’ai vu ces deux-là sourire, j’ai su que quelque chose avait cloché. A mon sens, c’est l’un des côtés sympas des concerts : au moins, on sait que ce qu’on voit (et entend !) est « réel ». Quoi qu’il en soit, cette anecdote a aussi montré à quel point ces gars-là s’entendent bien : il ne faut parfois qu’un regard entre eux pour qu’ils se comprennent ou envoyer un message silencieux qui peut seulement être décrypté par un membre de Stereophonics. J’ai adoré ce moment plein de complicité entre eux !
Kelly signale qu’ils vont jouer
« No-one’s Perfect », dernier extrait de « Graffiti on the
Train ». Un moment de calme pour une chanson superbe…
En fait, maintenant que j’y repense et avec le recul de plusieurs jours, c’est ainsi que je décrirais le public de ce soir-là : un peu trop calme. D’accord, il n’y avait pas des chansons telles que “The Bartender and the Thief”, “Madame Helga”, “Trouble” ou “Catacomb” dans la setlist et cela peut éventuellement et d’une certaine manière avoir influencé le public mais… allez les gens ! J’étais à l’arrière et j’ai chanté comme une malade lorsqu’ils ont joué « Just Looking » et « Local Boy… ». OK, j’étais à l’arrière mais soit j’étais sourde et je n’ai pas entendu la foule chanter, soit les garçons sont capable de littéralement hypnotiser une foule entière… et je suis quasiment certaine que ce n’est ni l’un, ni l’autre. Ou peut-être l’ai-je imaginé. Ou peut-être aurais-je dû changer mes habitudes et tenter le front stage. Je ne le saurai jamais…
En fait, maintenant que j’y repense et avec le recul de plusieurs jours, c’est ainsi que je décrirais le public de ce soir-là : un peu trop calme. D’accord, il n’y avait pas des chansons telles que “The Bartender and the Thief”, “Madame Helga”, “Trouble” ou “Catacomb” dans la setlist et cela peut éventuellement et d’une certaine manière avoir influencé le public mais… allez les gens ! J’étais à l’arrière et j’ai chanté comme une malade lorsqu’ils ont joué « Just Looking » et « Local Boy… ». OK, j’étais à l’arrière mais soit j’étais sourde et je n’ai pas entendu la foule chanter, soit les garçons sont capable de littéralement hypnotiser une foule entière… et je suis quasiment certaine que ce n’est ni l’un, ni l’autre. Ou peut-être l’ai-je imaginé. Ou peut-être aurais-je dû changer mes habitudes et tenter le front stage. Je ne le saurai jamais…
© Sound of Violence (Photographer : Mauro Melis) |
Kelly nous annonce la chanson
suivante en nous expliquant qu’il dormait et était en train de rêver. Dans ce
rêve apparaissait Ringo Starr qui… lui a inspiré la chanson. Je me demande
encore dans quelle mesure, ceci dit : peut-être que le batteur des Beatles
souhaitant échanger la pieuvre qui était à une époque dans son jardon (Octopuss’Garden)
pour la girafe volante de Kelly ? Les secrets de certaines chansons ne
sont pas toujours faciles à percer… Quoiqu’il en soit, « I Wouldn’t
Believe Your Radio » reste une de ces chansons entrainantes qui ramène
rapidement un sourire sur n’importe quel visage.
Pour démarrer « Pick A Part That’s New », Kelly commence à compter de un à quatre avec l’aide du public, avant de réaliser qu’il est en France et de redémarrer le compte… en français cette fois. Une fois la chanson terminée, une fille crie que c’est son anniversaire, ce à quoi Kelly Répond qu’ils ont également un anniversaire parmi eux. J’ai d’abord pensé qu’il parlait de l’un de leurs roadies qui se tenaient dans le côté gauche de la salle (peut-être était-ce le cas finalement…) mais ai réalisé – deux jour trop tard – qu’il parlait de… Adam. Le guitariste et choriste des Stereophonics fêtait ce jour-là son 41ème anniversaire. Pas de gâteau sur scène mais un bon moment de rigolade lorsque Kelly signale qu’il a… 26 ans.
Pour démarrer « Pick A Part That’s New », Kelly commence à compter de un à quatre avec l’aide du public, avant de réaliser qu’il est en France et de redémarrer le compte… en français cette fois. Une fois la chanson terminée, une fille crie que c’est son anniversaire, ce à quoi Kelly Répond qu’ils ont également un anniversaire parmi eux. J’ai d’abord pensé qu’il parlait de l’un de leurs roadies qui se tenaient dans le côté gauche de la salle (peut-être était-ce le cas finalement…) mais ai réalisé – deux jour trop tard – qu’il parlait de… Adam. Le guitariste et choriste des Stereophonics fêtait ce jour-là son 41ème anniversaire. Pas de gâteau sur scène mais un bon moment de rigolade lorsque Kelly signale qu’il a… 26 ans.
♫♪ Joyeux anniversaire... ♫♪ © Sound of Violence (Photographer : Mauro Melis) |
Le groupe joue alors « Have A
Nice Day », avec Adam et Richard qui officient aux chœurs. Autre chouette
moment que cette entrainante chanson qui me fait me balancer de gauche à droite
et vice versa. Stereophonics termine son concert privé avec un autre de leurs hits,
« Dakota », avant de quitter la scène.
Et c’est fini.
Enfin… pas tout à fait en fait. VRAIMENT pas tout à fait.
Comme je l’avais fait avec les garçons d’Imagine Dragons, j’avais quitté la maison avec une copie de la critique de leur album au cas où ils resteraient un peu après le concert. Ils ne sont pas restés mais j’ai approché un de leurs roadies, un très chouette type, et lui ai expliqué ce que contenait l’enveloppe que j’avais en main. Il m’a gentiment proposé de la leur donner et j’en profite pour le remercier pour sa gentillesse.
Stereophonics a joué à peu près une heure et une fois sortie du Studio SFR, mon amie et moi nous demandons ce que nous allons faire puisqu’il est encore tôt. La soirée était plutôt chaude pour la saison et nous décidons de profiter de cette agréable météo et de rester à proximité en profitant de la soirée un maximum. Etant toutes les deux des accros à la musique, nous commençons à parler d’artistes venant de nombreux horizons musicaux différents : Joseph Arthur, Fistful of Mercy, Fountains of Wayne, Eddie Vedder, Dave Grohl, Nikki Sixx, The Beatles, Tom Petty… Sans nous en rendre compte, plus d’une heure avait passé et il était 23h. C’est ce moment qu’ont choisi les garçons de Stereophonics pour sortir.
Ils ont eu la gentillesse d’accepter que nous fassions une photo ensemble et de signer mon Edition Deluxe de « Keep Calm and Carry On ». De tous mes CDs, j’avais choisi celui-là pour une raison bien précise : il s’agit du premier album sorti après qu’Adam Zindani devienne officiellement un membre de Stereophonics… et je n’avais pas encore reçu ma précommande Edition Limitée de « Graffiti on the Train ».
La vie est pleine de surprises : j’imagine qu’Adam n’a jamais imaginé une seule seconde qu’il ferait un jour partie de l’histoire de Stereophonics lorsque lui et son groupe Casino ont fait la première partie du groupe Gallois en 2005. Je suis contente que cela soit le cas : durant tout le set, Kelly a joué de la guitare acoustique, laissant Adam jouer de la guitare électrique. Bien que je sois un peu triste de ne pas avoir pu voir la célèbre Gibson SG Cherry de Kelly, je trouve Adam extrêmement compétent comme guitariste et plus je le regardais jouer, plus j’avais le sentiment qu’il était là où il devait être.
En parlant de son groupe Casino, je vous le recommande vivement : le groupe de Birmingham est une explosion musicale ! J’ai écouté leur album « The Spider Simpson Incident » et... n’ai littéralement pas été capable d’arrêter de l’écouter depuis ! Je deviens aussi complètement dingue parce que je n’arrive pas à trouver de copie physique de l’album et que je dois écouter l’album via YouTube. Comment suis-je censée soutenir une groupe que j’aime si je ne peux pas acheter leur album. Ouais, je sais… c’est dingue. Non. Je suis dingue, je pense. Bon… laissez-moi vous présenter « Runaway », leur dernier single, disponible sur iTunes.
Et c’est fini.
Enfin… pas tout à fait en fait. VRAIMENT pas tout à fait.
Comme je l’avais fait avec les garçons d’Imagine Dragons, j’avais quitté la maison avec une copie de la critique de leur album au cas où ils resteraient un peu après le concert. Ils ne sont pas restés mais j’ai approché un de leurs roadies, un très chouette type, et lui ai expliqué ce que contenait l’enveloppe que j’avais en main. Il m’a gentiment proposé de la leur donner et j’en profite pour le remercier pour sa gentillesse.
Stereophonics a joué à peu près une heure et une fois sortie du Studio SFR, mon amie et moi nous demandons ce que nous allons faire puisqu’il est encore tôt. La soirée était plutôt chaude pour la saison et nous décidons de profiter de cette agréable météo et de rester à proximité en profitant de la soirée un maximum. Etant toutes les deux des accros à la musique, nous commençons à parler d’artistes venant de nombreux horizons musicaux différents : Joseph Arthur, Fistful of Mercy, Fountains of Wayne, Eddie Vedder, Dave Grohl, Nikki Sixx, The Beatles, Tom Petty… Sans nous en rendre compte, plus d’une heure avait passé et il était 23h. C’est ce moment qu’ont choisi les garçons de Stereophonics pour sortir.
Ils ont eu la gentillesse d’accepter que nous fassions une photo ensemble et de signer mon Edition Deluxe de « Keep Calm and Carry On ». De tous mes CDs, j’avais choisi celui-là pour une raison bien précise : il s’agit du premier album sorti après qu’Adam Zindani devienne officiellement un membre de Stereophonics… et je n’avais pas encore reçu ma précommande Edition Limitée de « Graffiti on the Train ».
La vie est pleine de surprises : j’imagine qu’Adam n’a jamais imaginé une seule seconde qu’il ferait un jour partie de l’histoire de Stereophonics lorsque lui et son groupe Casino ont fait la première partie du groupe Gallois en 2005. Je suis contente que cela soit le cas : durant tout le set, Kelly a joué de la guitare acoustique, laissant Adam jouer de la guitare électrique. Bien que je sois un peu triste de ne pas avoir pu voir la célèbre Gibson SG Cherry de Kelly, je trouve Adam extrêmement compétent comme guitariste et plus je le regardais jouer, plus j’avais le sentiment qu’il était là où il devait être.
En parlant de son groupe Casino, je vous le recommande vivement : le groupe de Birmingham est une explosion musicale ! J’ai écouté leur album « The Spider Simpson Incident » et... n’ai littéralement pas été capable d’arrêter de l’écouter depuis ! Je deviens aussi complètement dingue parce que je n’arrive pas à trouver de copie physique de l’album et que je dois écouter l’album via YouTube. Comment suis-je censée soutenir une groupe que j’aime si je ne peux pas acheter leur album. Ouais, je sais… c’est dingue. Non. Je suis dingue, je pense. Bon… laissez-moi vous présenter « Runaway », leur dernier single, disponible sur iTunes.
Voici d’ailleurs une autre vidéo de
Casino et… regardez de près la guitare d’Adam : c’est celle qu’il avait
dans les mains lors du concert.
J’ai aussi eu quelques moments gags
avec Richard, qui pensait que j’avais une « cool jacket » (Merci
M’sieur !) et qui est l’un des musiciens les plus cools et drôles que j’ai
jamais rencontrés. Un de ces moments est immortalisé dans une vidéo de 7
seconds enregistré par mon appareil photo : voilà ce qui arrive quand on
oublie de changer les propriétés de son appareil… Je dois vraaaaaaimen
remercier le Gallois pour sa gentillesse et… sa patience. ;)
Ma "cool jacket" devant le papier peint un peu moins cool de la cuisine :D |
Vous vous souvenez de ce que j’avais
écrit à propos de Jamie Morrison dans ma critique… avant d’ne faire un update
lorsque j’ai réalisé qu’il n’était pas le batteur qui avait bossé sur « Graffiti
on the Train » ? Et bien… de là où je me tenais, je n’avais pas une
bonne vue sur le batteur et n’avait que mes oreilles pour témoins de ses
aptitudes à la batterie. Mais… Je n’avais pas tort quand j’écrivais que
« de ce que j’ai pu entendre en écoutant ‘Graffiti On The Train’, je ne
suis pas inquiète, le batteur a tout à fait sa place dans l’univers des
Stereophonics ». Remplacez juste la partie « en écoutant ‘Graffiti On
The Train’ » par « durant le concert de ce soir » et vous aurez
mon avis sur le nouveau batteur des Stereophonics.
Il y a bien d’autres histoires à raconter à propos de notre folle aventure Stereophonicsienne, notamment se retrouver juste à côté d’un célèbre acteur français, faire des sauts dans le métro ou rater le train et se demander si je pourrai finalement rentrer en Belgique et être au bureau le lendemain matin voire même une histoire incluant la varicelle mais… restons-en là. Laissez-moi juste encore vous dire ceci : les dessous de Paris (« The underbelly of Paris » - Indian Summer) ne sont désormais plus tout à fait les mêmes pour moi maintenant…
Merci les garçons pour ce concert, « le » moment et votre temps. Je me suis éclatée !
Et – avec certains de mes amis – je vous attends. En Belgique cette fois.
PS – je tiens encore une fois à remercier Sabrina, qui a rendu tout ceci possible, ainsi que l’équipe du Morning Rock de Oüi FM.
Je souhaite également remercier le site Sound of Violence et le photographe Mauro Melis pour m’avoir autorisée à emprunter certaines de leurs photographies.
Il y a bien d’autres histoires à raconter à propos de notre folle aventure Stereophonicsienne, notamment se retrouver juste à côté d’un célèbre acteur français, faire des sauts dans le métro ou rater le train et se demander si je pourrai finalement rentrer en Belgique et être au bureau le lendemain matin voire même une histoire incluant la varicelle mais… restons-en là. Laissez-moi juste encore vous dire ceci : les dessous de Paris (« The underbelly of Paris » - Indian Summer) ne sont désormais plus tout à fait les mêmes pour moi maintenant…
Merci les garçons pour ce concert, « le » moment et votre temps. Je me suis éclatée !
Et – avec certains de mes amis – je vous attends. En Belgique cette fois.
PS – je tiens encore une fois à remercier Sabrina, qui a rendu tout ceci possible, ainsi que l’équipe du Morning Rock de Oüi FM.
Je souhaite également remercier le site Sound of Violence et le photographe Mauro Melis pour m’avoir autorisée à emprunter certaines de leurs photographies.
Setlist :
-
Indian Summer
-
Maybe Tomorrow
-
Graffiti Train
-
Just Looking
-
Been Caught Cheating
-
Local boy In The Photograph
-
No One’s Perfect
-
I Wouldn’t Believe Your Radio
-
Pick a Part That's New
-
Have A Nice Day
-
Dakota
Super souvenirs, j'imagine!!!
RépondreSupprimerAbsolument... Cela fait partie des petits bonheurs d'une Vie, ce genre de chose. Et faut pas négliger les ptits bonheurs... ;)
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