mercredi 2 janvier 2013

45 - 6 - 10 – 16 - 5 - 3510


Voici venue la fin de l’année et nous n’avons pas eu cette fin du monde avec laquelle on nous a grandement bassiné les oreilles. Tant mieux car cela me permet de vous présenter une série de récompenses « Concerts 2012 ». Au fil de ces douze dernier mois, j’ai assisté à bon nombre de concerts dont certains ont été chroniqués sur ce blog et c’est l’occasion d’en faire une rétrospective…

Dans la catégorie « Ceux qui sont des légendes et qu’on voulait voir ‘pour de vrai’ avant de manger les pissenlits par les racines (eux ou nous, d’ailleurs) » : Paul McCartney, Lou Reed, Patti Smith, Alice Cooper et Slash.
 
Ces cinq-là ont été un vrai délice visuel et auditif: avoir sous les yeux les artistes qui sont à l’origine de chansons qui ont tellement marqué différentes époques, c’est quelque chose… Je repense avec tendresse à ce Lou Reed un peu fatigué mais dont les doigts grattent encore les cordes avec dextérité, je salue l’énergie charismatique de Patti Smith, je me souviens avec plaisir du Prince des Ténèbres soulevant à lui seul une Grand Place sous une pluie typiquement belge et ai adoré constater que Slash a su très bien s’entourer que pour faire perdurer l’esprit des Guns… sans les Guns d’origine.
La cerise sur le gâteau est bien évidemment Sir Paul McCartney : à 8 ans, j’avais décidé que « quand je serai grande, je me marierai avec McCartney ». Les années ont passé et quelque part, j’avais plus ou moins abandonné l’idée de l’avoir un jour sous les yeux mais il avait toujours une grande place dans mon cœur. Et puis, voilà… nous nous sommes vus. Enfin, lui ne m’a pas vue, vous savez, mais j’étais pourtant là, un peu comme dans un rêve pour être honnête avec vous. Sous mes yeux, un des hommes qui ont « fait » l’Histoire de la Musique. Un « bel » homme : une belle âme dans un corps encore tellement plein d’énergie. C’est bête mais… à 35 ans, je crois que je suis toujours amoureuse comme je l’étais à 8 ans. Et avec cette impression qu’un type comme McCartney ne pourra jamais mourir…
Et une dernière ligne pour quatre autres personnes : je n’allais pas à ce concert uniquement pour voir un ex-Beatles mais aussi pour « rencontrer » Rusty Anderson, Brian Ray, Adrian Wickens et… Abraham « Nounours » Laboriel Jr, ses compagnons de scène.

  

Dans la catégorie « Ceux qu’on n’attendait pas mais qui t’ont flanqué une belle claque sur ta tronche quand même »… : The Ting Tings, Ed Sheeran, James Morrison, Milow, Jake Bugg, Ginger Wildheart, Joan As Police Woman
 
J’avais écouté les albums des The Ting Tings et même si j’ai apprécié ce que j’avais entendu, je ne trouvais pas forcément cela extraordinaire. Une fois le couple devant moi sur une scène, c’est une autre histoire. En live, les Ting Tings, c’est tout bonnement extra : belle énergie, chouette interaction avec le public… Comme quoi tout compte. La meilleure preuve étant que j’ai depuis réécouté les albums et que… je ne les entends plus de la même oreille ! Bon plan, les double T’s !
Ed Sheeran et James Morrison, c’est un peu un monde que j’appréhende… tout simplement parce que la moitié des ados – version féminine, bien souvent – vénère aveuglément à cause d’un critère physique. Je sais, c’est réducteur mais c’est malheureusement le cas. Cela dit, après avoir entendu ces deux artistes à Werchter, je me suis dit qu’ils en avaient sous le capot : je ne suis toujours pas fan mais ils ont au moins mon respect.
Jake Bugg est un ptit bonhomme à peine sorti de l’adolescence qui m’a épatée avec sa six cordes et sa maîtrise malgré un stress fort visible lors de la première partie de Gallagher’s High Flying Birds. Il a suffisamment attiré mon attention que pour que j’aille revoir de quel bois il se chauffe en « solo ».
Ginger Wildheart est un des groupes qui a le mieux chauffé une salle. Ce n’était pas gagné d’avance sachant qu’ils étaient la première partie de… Slash. Et pourtant, ils ont assuré ! Sans se prendre la tête, ils ont réussi à s’imposer et à faire danser et chanter la salle avant même l’arrivée du guitariste au chapeau.
Joan As Police Woman m’a émue… lors de sa prestation et après celle-ci. Première partie de Lou Reed, cette jeune femme a trouvé les mélodies qui vont droit au cœur soutenues par une voix douce et tendre. A plusieurs reprises, je me suis dit qu’elle aurait pu écrire pour Jeff Buckley tant son style lui correspondait bien, tant certaines chansons parlaient d’une tristesse profonde… Coup du hasard ou feeling incroyable, j’ai découvert une fois rentrée chez moi que Joan avait partagé la vie d’un homme avant qu’il ne meure tragiquement. Cet homme s’appelait…. Jeff Buckley.

 

Dans la catégorie « Ceux qu’on n’attendait pas et qu’on va vite renvoyer dans leurs foyers » : The Vaccines, Snow Patrol, Soko
 
Je crois que tout est dans le titre… Je n’aime pas « casser » du sucre sur un artiste en général : c’est pour cette raison que vous trouverez des nuances dans mes articles mais jamais un article où je parle d’un album que je n’ai pas aimé du tout. La vie est trop courte pour parler des choses qui n’en valent pas la peine : mieux vaut partager ce que l’on aime, non ?
On m’avait fait tout un foin avec The Vaccines et bien… je n’ai rien ressenti. Même combat pour Snow Patrol où j’ai eu l’impression d’entendre tout le temps le même morceau. Quant à Soko, j’ai eu une envie irrépressible de la frapper au bout du troisième morceau. Ce que je n’ai pas fait, rassurez-vous… 

Dans la catégorie « Ceux qui ont mis une belle ambiance et qui pourtant ne vivent pas dans le même monde » : The Dropkick Murphys, Scissor Sisters, Keane
 
Ces trois-là prouvent que finalement, l’ambiance d’un concert ne tient pas tant au style de musique mais aux personnes présentes sur la scène. Avec leur rock bien costaud aux accents Irish, les Dropkick Murphys ont bien chauffé la scène de Werchter tandis que les Scissor Sisters, avec leurs fringues aussi colorées que leur musique pop, ont fait swinguer l’Ancienne Belgique et convaincu plus d’un sceptique… Keane a quant à lui démontré toute sa force de groupe sur la scène du Cirque Royal où la voix superbe de Tom Chaplin résonne probablement encore un peu.



 

 


 

Dans la catégorie « Ceux qui t’ont fait chialer et même que t’as pas vu arriver les larmes dans tes yeux » : Paul McCartney, Mika, Noël Gallagher, Slash, Keane.
 
Ai-je pleuré lors d’un concert ? Qu’est-ce que vous croyez ? Si vous pensez avoir affaire au Terminator, voyez plutôt du côté de James Cameron… Bien sûr que j’ai pleuré ! Parfois pour un rien, parfois pour beaucoup ; parfois de tristesse, parfois de joie…
“The Long and Winding Road”, “Let It Be”, “Hey Jude”, “Happy Ending”, “Rain”, “Love Today”, “Underwater”, “If I Had A Gun”, “Talk Tonight”, “Don’t Look Back In Anger”, “Civil War”, “Blues Jam”, “Paradise City”, “Neon River”, “A Bad Dream”, “Bedshaped” ou encore “Sovereign Light Café”… Ça fait un sacré paquet de larmes à gérer, parfois dues à une phrase qui touche droit dans le cœur, parfois simplement pour la beauté du moment. Et franchement, je ne voudrais pas me priver de ces émotions…

 

 

Dans la catégorie « Ceux qu’il faudrait pas jeter trop vite à la poubelle parce qu’ils ont encore de beaux restes (musicaux, je précise !) » : Status Quo… et… nan, j’mettrai pas les « vieux de la vieille » comme Lou Reed, McCa ou Alice. On ne jette pas une légende à la poubelle…
 
On a souvent tendance à dire que certains « vieux » devraient raccrocher. Pas d’accord ! Enfin… si, peut-être que certains devraient effectivement songer à prendre leur retraite. Il y en a même qui l’annoncent régulièrement : Johnny, par exemple… Et là, je suis certaine que mon ami Sam me dira qu’il a encore bien le temps avant d’y songer. ;)
Status Quo aussi a encore bien le temps avant de prendre sa retraite : j’ai adoré leur performance sur la scène du Suikerrock ! Ils sont efficaces et savent mener la foule. Et – petit plus qui ne fait pas de mal – ils avaient visiblement beaucoup de plaisir à être là et jouer pour un public et ça, on a beau dire, ça reste un élément non-négligeable que ce dernier ressent. Montre à ton public que tu aimes jouer pour lui et souvent, il te le rendra bien…
 
 
Dans la catégorie « Et sinon, tes impressions sur les festivals ? » : Rock Werchter, Suikkerock et Les Ardentes.
 
Commençons par celui où ça fait le plus mal : Les Ardentes. Une affiche sympa : des grands noms (Patti Smith, Morrissey…) associés à de jeunes pousses (Edward Sharpe, White Lies…). Là où le bât blesse c’est que les Ardentes est un festival plein de paradoxes : à l’entrée, t’as droit à un excès de contrôle et on t’empêche de rentrer sur le site avec une bombe de déo (et tu dois te fendre d’une consigne ou… le jeter à la poubelle) mais une fois dedans, tu trouves suffisamment d’alcool que pour te retrouver dans un site où tu ne te sens pas forcément toujours en sécurité en fin de soirée. Au vu de ce qui s’est passé cette année sur le site du camping, il semble que mon feeling était plus que fondé.
Rock Werchter, c’est toujours sympa… sauf quand il pleut évidemment. C’est le désavantage majeur des festivals en plein air vous allez me dire. Par chance, on a eu juste une petite averse et le reste de notre journée a été sympa. Affiche savoureuse (Dropkick Murphys, Florence + The Machine, Milow… et Red Hot chili Peppers en clôture), temps d’attente minimal dans les stands, amabilité des organisateurs et de leur personnel et ambiance conviviale entre les spectateurs… Il n’y a tout bonnement… rien à redire. Ajoutons à cela que ce soir-là, je suivais à la fois les concerts et la finale de l’Euro grâce aux sms transmis par mes amis, finale où mon équipe favorite (l’Espagne, donc…) a gagné à nouveau la Copa. Si je n’ai pas pu voir le match en direct, j’ai toutefois pu voir mes adorables de la Roja célébrer leur victoire sur un des écrans de Werchter. Bon-heur !
Le Suikerrock, c’est également un festival que je vous conseille. Situé dans la ville de Tirlemont, le festival se déroule sur la place principale de la ville, juste à côté d’une superbe église qui sera mise en valeur par Mika lors de son passage sur scène. L’ambiance qui y règne est plus « familiale » qu’à Werchter, probablement dû à la taille du site en lui-même, plus petit que celui de Werchter. La ville se transforme également le temps du festival en un marché géant où les rues sont remplies d’aubettes et échoppes diverses.
Ajoutons aussi que dans le climat de tension qui règne entre les deux principales communautés belges, Tirlemont – ou Tienen en flamand - est la preuve vivante qu’il ne faut pas faire de généralités : bien que wallonne, j’ai été accueillie par les habitants de la ville comme… belge. De quoi clouer le bec aux flamands et wallons médisants ! 

Dans la catégorie « Quand j’te vois dans des vidéos, tu m’fais un effet bœuf et en vrai devant moi aussi » : Jack White
 
Bon… Jack White a toujours eu un effet massif sur moi. Il n’est pas super-beau, il ne chante pas super-bien, il n’écrit pas toujours des mélodies qui me parlent mais… une fois qu’il prend la guitare et démarre une chanson, il y a un truc en moi qui se déclenche. Et le pire, c’est que je ne sais même pas vous expliquer pourquoi… mais est-ce finalement bien nécessaire d’expliquer le pourquoi du comment quand on parle de musique ?
Toujours est-il que sur scène, c’est quelque chose à voir, le Jack. En mettant de côté le coup de génie de se promener sur les routes avec deux groupes – l’un masculin et l’autre féminin – et le côté visuel de la scène (le bleu lié à la couleur de la couverture de son album solo et la réminiscence du chiffre « 3 »), la prestation et la prestance du gaillard d’1.90m restent épatantes. Quand il joue, ce type est à la fois dans son monde et en osmose avec ses musiciens… et je peux vivre 100 ans, je me souviendrai toujours de ce regard lancé à son public. Un regard où tu ressens une confiance en soi qui frôle le 2000%. En même temps, quand on sait que son nom est régulièrement cité par de nombreuses stars qui souhaiteraient teeeeellement collaborer avec lui, ça n’a rien d’étonnant.
                                                                                     

 
Dans la catégorie « Quand j’te voyais dans des vidéos, tu m’faisais pas un effet bœuf mais y a que les imbéciles qui changent pas d’avis» : Noel Gallagher
 
Noel Gallagher et ses High Flying Birds resteront la plus belle surprise de mon année. Moi qui n’ai jamais vraiment accroché à Oasis dans mon adolescence ai tourné la tête au bout de 30 secondes de prestation du groupe de Gallagher à Werchter pour finir complètement charmée. Jusque-là, on peut se dire « Et pourquoi pas ? ». Mais quand, au fil des jours et des semaines qui suivront, je resterai accrochée à Noel et ses compères au point de passer la frontière et d’aller les revoir à Lille, on est au-delà du « pourquoi pas ? ». Que s’est-il passé ? Je ne sais pas… Je me suis en tout cas penchée sur la vie de l’ex-guitariste d’Oasis suffisamment pour savoir qu’au-delà de ses mélodies extraordinaires bien plus belles à l’oreille lorsqu’elles sont chantées par lui et non par son cadet, il y a un type qui me parle, qui me touche au cœur et qui aussi… sait me faire beaucoup rire grâce à son sens de l’humour tellement British. Et même si, comme je l’écris plus haut, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, je ne souhaite pas qu’Oasis se reforme : j’apprécie trop le talent de Mister Noel à lui seul…
 

 
Dans la catégorie « Ceux qui se sont avérés être les plus belles rencontres de l’année… et pas uniquement musicales » : Belakiss et Imagine Dragons
 
Comment oublier ces deux-là ? Les anglais de Belakiss faisaient la première partie de Kasabian et j’ai tout de suite accroché à leurs excellentes mélodies. Elément non-négligeable, ils sont aussi très bons sur scène et ont su séduire le public lors de leur passage en Belgique. Rappelons aussi l’anecdote d’avoir dû faire venir leur CD de Taiwan alors… que le groupe vit pratiquement à côté de chez moi !  
 

 

J’avais découvert les Imagine Dragons un peu par hasard grâce à leur vidéo « It’s Time » sur Youtube et trouvait que leur musique méritait de se faire connaître au-delà des frontières. J’avais apporté une maigre contribution via une chronique mais était alors loin d’imaginer que le quatuor allait effectuer un sacré bout de chemin aux States. Quand ils ont posé les pieds dans la capitale belge, j’étais là car je ne voulais pas rater ce moment. Et il fut excellent… Musicalement et personnellement. Sur scène, les Imagine Dragons, c’est du pur bonheur, une belle énergie… 

 
 Belakiss et Imagine Dragons ont plusieurs points communs entre eux…
Je ne m’étendrai pas trop sur le sujet mais ces deux groupes ont eu le don de causer l’une ou l’autre surprise que je n’ai pas vues arriver… Rassurez-vous, rien de grave puisque ces surprises ont généralement amené un large sourire sur mon visage.
Chose importante, les deux groupes sont disponibles pour leurs fans : après leurs prestations, j’ai vu les membres des groupes rester à proximité de la salle afin d’échanger quelques mots, prendre la pose photo ou donner des dédicaces… Quand le talent musical est associé à un respect des fans, je ne peux m’empêcher de le souligner. Je déteste ces artistes qui, sous prétexte d’avoir obtenu un peu de succès, agissent comme des andouilles. Ce n’est définitivement pas le cas de ces deux groupes et je leur souhaite de rester tels qu’ils sont.
Je compte en tout cas garder l’œil et les oreilles bien ouvertes pour Belakiss et Imagine Dragons car je crois dur comme fer en ces deux groupes encore fort jeunes et malheureusement encore méconnus dans nos contrées. Ce n’est pas mon genre de laisser tomber les gens en qui je crois et puis… on ne laisse pas tomber les potes, pas vrai ?
 
Pour en revenir aux chiffres qui font le titre de cette chronique, ce ne sont ni des chiffres de tests psychotechniques d’examen d’entrée dans une firme quelconque ou les coordonnées secrètes d’un coffre-fort dans lequel j’aurais planqué quelques bijoux musicaux… En fait, ils n’ont même rien à voir avec ce qui précède mais l’année est finie, soyons un peu fous, que diable ! Quoique… il y a peut-être finalement un petit lien…
 
45… ce sont les 45 artistes vus cette année en concert
6… ce sont les 6 villes dans lesquelles j’ai promené mes Doc Martens
10… ce sont les 10 salles dans lesquels j’ai tapé du pied en rythme
6… ce sont ces nouveaux amis rencontrés lors de concerts provenant de...
5… 5 pays différents du monde.
Quant au « 3510 » et bien… il s’agit tout simplement du nombre de kilomètres que j’ai parcourus à travers la Belgique et la France pour aller à la rencontre de tous ces artistes.
 
Et vous voulez savoir la meilleure ? Je pense que 2013 s’annonce aussi bien que 2012. Parce que le planning s’est déjà rempli tout doucement et va certainement encore s’étoffer au cours des prochains mois. Un aperçu?

-      Retour du ptit prodigue Jake Bugg non plus en première partie mais tout seul comme un grand en « main artist ».
-      The Killers, le quatuor de la Sin City
-      On poursuit dans la série des artistes de Las Vegas avec un autre quatuor, les Imagine Dragons
-      Passage à Londres au célèbre Royal Albert Hall pour fêter les 50 ans de carrière d’Eric Clapton avec ses potes : Steve Jordan, Doyle Bramhall Jr ou encore Paul Carrack…
-      Retour à Londres le week-end suivant dans la même salle (n’en peut rien, je l’aime cette salle…) pour une autre légende de la Guitare : Mister Mark Knopfler
-      Légende, légende, vous avez dit légende ? Alors un ptit Springsteen dans le cadre du TWClassic ne peut pas faire de mal
-      Et enfin… retrouvailles avec Robbie Williams après de looongues années de séparation conceristique… concertale ? Concertées ? Nan… Enfin bref, je pense que vous m’avez comprise.  

En outre, j’ai découvert quelques groupes/artistes sympathiques au fil des derniers mois, voire années, que j’apprécierais vivement voir passer dans une ville de mon plat pays : The Chase, The Cornerstones, Expatriate, Nico Vega, Orianthi, The Parlotones, Run From Cover, sans oublier les canadiens d’In-Flight Safety.
Restent également les indémodables que j’attends depuis une éternité : Stereophonics, Sixx : AM, The Wallflowers et… ben… John Mayer (Je suis certaine que je finirais par l’écrire, cette satanée lettre où je lui exprime toute la tristesse que j’éprouve à ne jamais pouvoir le voir en live à proximité de mon pays). 
Et vous ? Déjà des choses de prévues ? Des émotions en stock prêtes à être relâchées en brut un soir de concert ?
 
En tout cas, je ne peux pas finir cette chronique sans vous souhaiter à tous une bonne année. Surtout que 2013 vous apporte… tout le bonheur du monde comme disait l’autre… Et également un paquet de notes de musique pour éloigner vos soucis et vos peines, pour raviver les joies et les bonheurs, pour danser enlacés sur une tendre mélodie ou sur des rythmes endiablés, pour aimer ou pour détester ou encore pour oublier… Pour changer votre vie ou tout simplement la rendre encore plus belle.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire