Voici venue la fin de l’année et nous n’avons pas eu
cette fin du monde avec laquelle on nous a grandement bassiné les oreilles.
Tant mieux car cela me permet de vous présenter une série de récompenses « Concerts
2012 ». Au fil de ces douze dernier mois, j’ai assisté à bon nombre de
concerts dont certains ont été chroniqués sur ce blog et c’est l’occasion d’en
faire une rétrospective…
Dans la
catégorie « Ceux qui sont des légendes et qu’on voulait voir ‘pour de vrai’ avant
de manger les pissenlits par les racines (eux ou nous, d’ailleurs) » : Paul McCartney, Lou Reed, Patti Smith, Alice
Cooper et Slash.
Ces cinq-là ont été un vrai délice visuel et auditif:
avoir sous les yeux les artistes qui sont à l’origine de chansons qui ont
tellement marqué différentes époques, c’est quelque chose… Je repense avec
tendresse à ce Lou Reed un peu fatigué mais dont les doigts grattent encore les
cordes avec dextérité, je salue l’énergie charismatique de Patti Smith, je me
souviens avec plaisir du Prince des Ténèbres soulevant à lui seul une Grand
Place sous une pluie typiquement belge et ai adoré constater que Slash a su
très bien s’entourer que pour faire perdurer l’esprit des Guns… sans les Guns
d’origine.
La cerise sur le gâteau est bien évidemment Sir Paul
McCartney : à 8 ans, j’avais décidé que « quand je serai grande, je
me marierai avec McCartney ». Les années ont passé et quelque part,
j’avais plus ou moins abandonné l’idée de l’avoir un jour sous les yeux mais il
avait toujours une grande place dans mon cœur. Et puis, voilà… nous nous sommes
vus. Enfin, lui ne m’a pas vue, vous savez, mais j’étais pourtant là, un peu
comme dans un rêve pour être honnête avec vous. Sous mes yeux, un des hommes
qui ont « fait » l’Histoire de la Musique. Un « bel » homme :
une belle âme dans un corps encore tellement plein d’énergie. C’est bête mais…
à 35 ans, je crois que je suis toujours amoureuse comme je l’étais à 8 ans. Et
avec cette impression qu’un type comme McCartney ne pourra jamais mourir…
Et une dernière ligne pour quatre autres
personnes : je n’allais pas à ce concert uniquement pour voir un
ex-Beatles mais aussi pour « rencontrer » Rusty Anderson, Brian Ray,
Adrian Wickens et… Abraham « Nounours » Laboriel Jr, ses compagnons
de scène.
Dans la
catégorie « Ceux qu’on n’attendait pas mais qui t’ont flanqué une belle
claque sur ta tronche quand même »… :
The Ting Tings, Ed Sheeran, James Morrison, Milow, Jake Bugg, Ginger Wildheart,
Joan As Police Woman
J’avais écouté les albums des The Ting Tings et même
si j’ai apprécié ce que j’avais entendu, je ne trouvais pas forcément cela
extraordinaire. Une fois le couple devant moi sur une scène, c’est une autre
histoire. En live, les Ting Tings, c’est tout bonnement extra : belle
énergie, chouette interaction avec le public… Comme quoi tout compte. La
meilleure preuve étant que j’ai depuis réécouté les albums et que… je ne les
entends plus de la même oreille ! Bon plan, les double T’s !
Ed Sheeran et James Morrison, c’est un peu un monde
que j’appréhende… tout simplement parce que la moitié des ados – version
féminine, bien souvent – vénère aveuglément à cause d’un critère physique. Je
sais, c’est réducteur mais c’est malheureusement le cas. Cela dit, après avoir
entendu ces deux artistes à Werchter, je me suis dit qu’ils en avaient sous le
capot : je ne suis toujours pas fan mais ils ont au moins mon respect.
Jake Bugg est un ptit bonhomme à peine sorti de
l’adolescence qui m’a épatée avec sa six cordes et sa maîtrise malgré un stress
fort visible lors de la première partie de Gallagher’s High Flying Birds. Il a
suffisamment attiré mon attention que pour que j’aille revoir de quel bois il
se chauffe en « solo ».
Ginger Wildheart est un des groupes qui a le mieux
chauffé une salle. Ce n’était pas gagné d’avance sachant qu’ils étaient la
première partie de… Slash. Et pourtant, ils ont assuré ! Sans se prendre
la tête, ils ont réussi à s’imposer et à faire danser et chanter la salle avant
même l’arrivée du guitariste au chapeau.
Joan As Police Woman m’a émue… lors de sa prestation
et après celle-ci. Première partie de Lou Reed, cette jeune femme a trouvé les
mélodies qui vont droit au cœur soutenues par une voix douce et tendre. A
plusieurs reprises, je me suis dit qu’elle aurait pu écrire pour Jeff Buckley
tant son style lui correspondait bien, tant certaines chansons parlaient d’une
tristesse profonde… Coup du hasard ou feeling incroyable, j’ai découvert une
fois rentrée chez moi que Joan avait partagé la vie d’un homme avant qu’il ne
meure tragiquement. Cet homme s’appelait…. Jeff Buckley.
Dans la
catégorie « Ceux qu’on n’attendait pas et qu’on va vite renvoyer dans
leurs foyers » : The
Vaccines, Snow Patrol, Soko
Je crois que tout est dans le titre… Je n’aime pas
« casser » du sucre sur un artiste en général : c’est pour cette
raison que vous trouverez des nuances dans mes articles mais jamais un article
où je parle d’un album que je n’ai pas aimé du tout. La vie est trop courte
pour parler des choses qui n’en valent pas la peine : mieux vaut partager ce
que l’on aime, non ?
On m’avait fait tout un foin avec The Vaccines et
bien… je n’ai rien ressenti. Même combat pour Snow Patrol où j’ai eu
l’impression d’entendre tout le temps le même morceau. Quant à Soko, j’ai eu
une envie irrépressible de la frapper au bout du troisième morceau. Ce que je
n’ai pas fait, rassurez-vous…
Dans la
catégorie « Ceux qui ont mis une belle ambiance et qui pourtant ne vivent
pas dans le même monde » :
The Dropkick Murphys, Scissor Sisters, Keane
Ces trois-là prouvent que finalement, l’ambiance d’un
concert ne tient pas tant au style de musique mais aux personnes présentes sur
la scène. Avec leur rock bien costaud aux accents Irish, les Dropkick Murphys
ont bien chauffé la scène de Werchter tandis que les Scissor Sisters, avec
leurs fringues aussi colorées que leur musique pop, ont fait swinguer
l’Ancienne Belgique et convaincu plus d’un sceptique… Keane a quant à lui
démontré toute sa force de groupe sur la scène du Cirque Royal où la voix
superbe de Tom Chaplin résonne probablement encore un peu.
Dans la
catégorie « Ceux qui t’ont fait chialer et même que t’as pas vu arriver
les larmes dans tes yeux » :
Paul McCartney, Mika, Noël Gallagher, Slash, Keane.
Ai-je pleuré lors d’un concert ? Qu’est-ce que
vous croyez ? Si vous pensez avoir affaire au Terminator, voyez plutôt du
côté de James Cameron… Bien sûr que j’ai pleuré ! Parfois pour un rien,
parfois pour beaucoup ; parfois de tristesse, parfois de joie…
“The Long and Winding Road”, “Let It Be”, “Hey Jude”, “Happy
Ending”, “Rain”, “Love Today”, “Underwater”, “If I Had A Gun”, “Talk Tonight”,
“Don’t Look Back In Anger”, “Civil War”, “Blues Jam”, “Paradise City”, “Neon
River”, “A Bad Dream”, “Bedshaped” ou encore “Sovereign Light Café”… Ça fait un sacré paquet de larmes à gérer, parfois dues
à une phrase qui touche droit dans le cœur, parfois simplement pour la beauté
du moment. Et franchement, je ne voudrais pas me priver de ces émotions…
Dans la
catégorie « Ceux qu’il faudrait pas jeter trop vite à la poubelle parce
qu’ils ont encore de beaux restes (musicaux, je précise !) » : Status Quo… et… nan, j’mettrai pas les
« vieux de la vieille » comme Lou Reed, McCa ou Alice. On ne jette
pas une légende à la poubelle…
On a souvent tendance à dire que certains
« vieux » devraient raccrocher. Pas d’accord ! Enfin… si,
peut-être que certains devraient effectivement songer à prendre leur retraite.
Il y en a même qui l’annoncent régulièrement : Johnny, par exemple… Et là,
je suis certaine que mon ami Sam me dira qu’il a encore bien le temps avant d’y
songer. ;)
Status Quo aussi a encore bien le temps avant de
prendre sa retraite : j’ai adoré leur performance sur la scène du
Suikerrock ! Ils sont efficaces et savent mener la foule. Et – petit plus
qui ne fait pas de mal – ils avaient visiblement beaucoup de plaisir à être là
et jouer pour un public et ça, on a beau dire, ça reste un élément non-négligeable
que ce dernier ressent. Montre à ton public que tu aimes jouer pour lui et
souvent, il te le rendra bien…
Dans la
catégorie « Et sinon, tes impressions sur les festivals ? » : Rock Werchter, Suikkerock et Les Ardentes.
Commençons par celui où ça fait le plus mal : Les
Ardentes. Une affiche sympa : des grands noms (Patti Smith, Morrissey…)
associés à de jeunes pousses (Edward Sharpe, White Lies…). Là où le bât blesse
c’est que les Ardentes est un festival plein de paradoxes : à l’entrée,
t’as droit à un excès de contrôle et on t’empêche de rentrer sur le site avec
une bombe de déo (et tu dois te fendre d’une consigne ou… le jeter à la
poubelle) mais une fois dedans, tu trouves suffisamment d’alcool que pour te
retrouver dans un site où tu ne te sens pas forcément toujours en sécurité en
fin de soirée. Au vu de ce qui s’est passé cette année sur le site du camping,
il semble que mon feeling était plus que fondé.
Rock Werchter, c’est toujours sympa… sauf quand il
pleut évidemment. C’est le désavantage majeur des festivals en plein air vous
allez me dire. Par chance, on a eu juste une petite averse et le reste de notre
journée a été sympa. Affiche savoureuse (Dropkick Murphys, Florence + The
Machine, Milow… et Red Hot chili Peppers en clôture), temps d’attente minimal
dans les stands, amabilité des organisateurs et de leur personnel et ambiance
conviviale entre les spectateurs… Il n’y a tout bonnement… rien à redire.
Ajoutons à cela que ce soir-là, je suivais à la fois les concerts et la finale
de l’Euro grâce aux sms transmis par mes amis, finale où mon équipe favorite
(l’Espagne, donc…) a gagné à nouveau la Copa. Si je n’ai pas pu voir le match
en direct, j’ai toutefois pu voir mes adorables de la Roja célébrer leur
victoire sur un des écrans de Werchter. Bon-heur !
Le Suikerrock, c’est également un festival que je vous
conseille. Situé dans la ville de Tirlemont, le festival se déroule sur la
place principale de la ville, juste à côté d’une superbe église qui sera mise
en valeur par Mika lors de son passage sur scène. L’ambiance qui y règne est
plus « familiale » qu’à Werchter, probablement dû à la taille du site
en lui-même, plus petit que celui de Werchter. La ville se transforme également
le temps du festival en un marché géant où les rues sont remplies d’aubettes et
échoppes diverses.
Ajoutons aussi que dans le climat de tension qui règne
entre les deux principales communautés belges, Tirlemont – ou Tienen en flamand
- est la preuve vivante qu’il ne faut pas faire de généralités : bien que
wallonne, j’ai été accueillie par les habitants de la ville comme… belge. De
quoi clouer le bec aux flamands et wallons médisants !
Dans la
catégorie « Quand j’te vois dans des vidéos, tu m’fais un effet bœuf et en
vrai devant moi aussi » :
Jack White
Bon… Jack White a toujours eu un effet massif sur moi.
Il n’est pas super-beau, il ne chante pas super-bien, il n’écrit pas toujours
des mélodies qui me parlent mais… une fois qu’il prend la guitare et démarre
une chanson, il y a un truc en moi qui se déclenche. Et le pire, c’est que je
ne sais même pas vous expliquer pourquoi… mais est-ce finalement bien
nécessaire d’expliquer le pourquoi du comment quand on parle de musique ?
Toujours est-il que sur scène, c’est quelque chose à
voir, le Jack. En mettant de côté le coup de génie de se promener sur les
routes avec deux groupes – l’un masculin et l’autre féminin – et le côté visuel
de la scène (le bleu lié à la couleur de la couverture de son album solo et la
réminiscence du chiffre « 3 »), la prestation et la prestance du
gaillard d’1.90m restent épatantes. Quand il joue, ce type est à la fois dans
son monde et en osmose avec ses musiciens… et je peux vivre 100 ans, je me
souviendrai toujours de ce regard lancé à son public. Un regard où tu ressens
une confiance en soi qui frôle le 2000%. En même temps, quand on sait que son
nom est régulièrement cité par de nombreuses stars qui souhaiteraient
teeeeellement collaborer avec lui, ça n’a rien d’étonnant.
Dans la
catégorie « Quand j’te voyais dans des vidéos, tu m’faisais pas un effet
bœuf mais y a que les imbéciles qui changent pas d’avis» : Noel Gallagher
Noel Gallagher et ses High Flying Birds resteront la
plus belle surprise de mon année. Moi qui n’ai jamais vraiment accroché à Oasis
dans mon adolescence ai tourné la tête au bout de 30 secondes de prestation du
groupe de Gallagher à Werchter pour finir complètement charmée. Jusque-là, on
peut se dire « Et pourquoi pas ? ». Mais quand, au fil des jours
et des semaines qui suivront, je resterai accrochée à Noel et ses compères au
point de passer la frontière et d’aller les revoir à Lille, on est au-delà du
« pourquoi pas ? ». Que s’est-il passé ? Je ne sais pas… Je
me suis en tout cas penchée sur la vie de l’ex-guitariste d’Oasis suffisamment
pour savoir qu’au-delà de ses mélodies extraordinaires bien plus belles à
l’oreille lorsqu’elles sont chantées par lui et non par son cadet, il y a un
type qui me parle, qui me touche au cœur et qui aussi… sait me faire beaucoup
rire grâce à son sens de l’humour tellement British. Et même si, comme je
l’écris plus haut, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, je ne
souhaite pas qu’Oasis se reforme : j’apprécie trop le talent de Mister
Noel à lui seul…
Dans la
catégorie « Ceux qui se sont avérés être les plus belles rencontres de
l’année… et pas uniquement musicales » : Belakiss et Imagine Dragons
Comment oublier ces deux-là ? Les anglais de Belakiss
faisaient la première partie de Kasabian et j’ai tout de suite accroché à leurs
excellentes mélodies. Elément non-négligeable, ils sont aussi très bons sur
scène et ont su séduire le public lors de leur passage en Belgique. Rappelons
aussi l’anecdote d’avoir dû faire venir leur CD de Taiwan alors… que le groupe vit
pratiquement à côté de chez moi !
J’avais découvert les Imagine Dragons un peu par
hasard grâce à leur vidéo « It’s Time » sur Youtube et trouvait que
leur musique méritait de se faire connaître au-delà des frontières. J’avais
apporté une maigre contribution via une chronique mais était alors loin
d’imaginer que le quatuor allait effectuer un sacré bout de chemin aux States.
Quand ils ont posé les pieds dans la capitale belge, j’étais là car je ne
voulais pas rater ce moment. Et il fut excellent… Musicalement et
personnellement. Sur scène, les Imagine Dragons, c’est du pur bonheur, une
belle énergie…
Je ne m’étendrai pas trop sur le sujet mais ces deux
groupes ont eu le don de causer l’une ou l’autre surprise que je n’ai pas vues
arriver… Rassurez-vous, rien de grave puisque ces surprises ont généralement
amené un large sourire sur mon visage.
Chose importante, les deux groupes sont disponibles
pour leurs fans : après leurs prestations, j’ai vu les membres des groupes
rester à proximité de la salle afin d’échanger quelques mots, prendre la pose photo
ou donner des dédicaces… Quand le talent musical est associé à un respect des
fans, je ne peux m’empêcher de le souligner. Je déteste ces artistes qui, sous
prétexte d’avoir obtenu un peu de succès, agissent comme des andouilles. Ce
n’est définitivement pas le cas de ces deux groupes et je leur souhaite de
rester tels qu’ils sont.
Je compte en tout cas garder l’œil et les oreilles
bien ouvertes pour Belakiss et Imagine Dragons car je crois dur comme fer en
ces deux groupes encore fort jeunes et malheureusement encore méconnus dans nos
contrées. Ce n’est pas mon genre de laisser tomber les gens en qui je crois et
puis… on ne laisse pas tomber les potes, pas vrai ?
Pour en revenir aux chiffres qui font le titre de
cette chronique, ce ne sont ni des chiffres de tests psychotechniques d’examen
d’entrée dans une firme quelconque ou les coordonnées secrètes d’un coffre-fort
dans lequel j’aurais planqué quelques bijoux musicaux… En fait, ils n’ont même
rien à voir avec ce qui précède mais l’année est finie, soyons un peu fous, que
diable ! Quoique… il y a peut-être finalement un petit lien…
45… ce sont les 45 artistes vus cette année en concert
6… ce sont les 6 villes dans lesquelles j’ai promené
mes Doc Martens
10… ce sont les 10 salles dans lesquels j’ai tapé du
pied en rythme
6… ce sont ces nouveaux amis rencontrés lors de
concerts provenant de...
5… 5 pays différents du monde.
Quant au « 3510 » et bien… il s’agit tout
simplement du nombre de kilomètres que j’ai parcourus à travers la Belgique et
la France pour aller à la rencontre de tous ces artistes.
Et vous voulez savoir la meilleure ? Je pense que
2013 s’annonce aussi bien que 2012. Parce que le planning s’est déjà rempli
tout doucement et va certainement encore s’étoffer au cours des prochains mois.
Un aperçu?
-
Retour du ptit
prodigue Jake Bugg non plus en première partie mais tout seul comme un grand en
« main artist ».
-
The Killers, le
quatuor de la Sin City
-
On poursuit dans la
série des artistes de Las Vegas avec un autre quatuor, les Imagine Dragons
-
Passage à Londres
au célèbre Royal Albert Hall pour fêter les 50 ans de carrière d’Eric Clapton
avec ses potes : Steve Jordan, Doyle Bramhall Jr ou encore Paul Carrack…
-
Retour à Londres le
week-end suivant dans la même salle (n’en peut rien, je l’aime cette salle…)
pour une autre légende de la Guitare : Mister Mark Knopfler
-
Légende, légende,
vous avez dit légende ? Alors un ptit Springsteen dans le cadre du
TWClassic ne peut pas faire de mal
-
Et enfin…
retrouvailles avec Robbie Williams après de looongues années de séparation
conceristique… concertale ? Concertées ? Nan… Enfin bref, je pense
que vous m’avez comprise.
En outre, j’ai découvert quelques groupes/artistes
sympathiques au fil des derniers mois, voire années, que j’apprécierais
vivement voir passer dans une ville de mon plat pays : The Chase, The
Cornerstones, Expatriate, Nico Vega, Orianthi, The Parlotones, Run From Cover,
sans oublier les canadiens d’In-Flight Safety.
Restent également les indémodables que j’attends
depuis une éternité : Stereophonics, Sixx : AM, The Wallflowers et…
ben… John Mayer (Je suis certaine que je finirais par l’écrire, cette satanée
lettre où je lui exprime toute la tristesse que j’éprouve à ne jamais pouvoir
le voir en live à proximité de mon pays).
Et vous ? Déjà des choses de prévues ? Des
émotions en stock prêtes à être relâchées en brut un soir de concert ?
En tout cas, je ne peux pas finir cette chronique sans
vous souhaiter à tous une bonne année. Surtout que 2013 vous apporte… ♫♪ tout le bonheur du monde ♫♪ comme disait l’autre… Et également
un paquet de notes de musique pour éloigner vos soucis et vos peines, pour
raviver les joies et les bonheurs, pour danser enlacés sur une tendre mélodie
ou sur des rythmes endiablés, pour aimer ou pour détester ou encore pour
oublier… Pour changer votre vie ou tout simplement la rendre encore plus belle.
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