lundi 9 juillet 2012

Rock Werchter Festival (Final day : 01/07/2012)



Rien de tel qu’un bon festival de musique pour démarrer le mois de juillet. D’autant qu’il semblerait que cette fois, l’été semble vouloir se maintenir dans notre Plat Pays. Mis à part une petite « drache » vers 14h, la météo a été des plus sympathiques ce dimanche 1er juillet à Werchter. La musique aussi d’ailleurs…


Une fois arrivées sur le site, l’apéro et le dîner dans l’estomac, mes copines et moi-même nous dirigeons vers la Pyramid Marquee pour découvrir un groupe américain baptisé « Other Lives ». La foule s’est déjà bien amassée en-dessous du chapiteau et est réceptive au groupe. La voix de Jesse Tabish rappelle par moments la voix de Chris Martin de Coldplay et le groupe au style folk assure au niveau musical et a en son sein d’excellents musiciens. Le seul souci, selon moi, était qu’à la longue, je finis par avoir l’impression d’entendre toujours le même morceau. Une écoute un peu plus attentive m’a au final montré que cette impression était principalement due à la voix du chanteur plus qu’aux mélodies. Cela dit, ce genre de groupe est pas mal pour démarrer en douceur un festival de musique rock.






Direction ensuite la Main Stage pour la prestation des Vaccines. J’avais découvert le groupe via Youtube il y a déjà quelques mois grâce au morceau « Post-Break Up Sex ». Musicalement, le groupe londonien est des plus intéressants avec son mélange rock-punk. Les Vaccines font preuve d’une belle énergie sur scène et Justin Young ne ménage pas ses efforts pour maintenir une interaction avec le public. Probablement parfois un peu trop au goût de son guitariste Freddie Cowan qui a soufflé un grand coup quand Justin l’a pris par les épaules, le tout étant filmé et diffusé sur les deux écrans géants situés de chaque côté de la scène. Pas malin, ça ! Mais en même temps, Justin, se faire malmener et jouer de la guitare en même temps, c’est pas facile, hein !
Le groupe nous joue deux nouveaux morceaux lors de son set, « Teenage Icon » et « Bad Mood », extraits du futur album des Vaccines qui sortira en septembre prochain. Justin nous signale d’ailleurs qu’une grosse partie de cet album a été enregistrée en Belgique, à Bruxelles. Enfin, pour les fans, sachez que le nouveau single du groupe, « No Hope », est sorti ce 8 juillet. Je vous livre ci-dessous la vidéo de ce nouveau single.




Retour à la Pyramid Marquee pour aller écouter Kitty, Daisy And Lewis, savant mélange de multiples styles musicaux allant du pop-folk jusqu’au reggae. Cette fratrie nourrie au biberon musical a déjà à son actif un beau palmarès puisqu’elle a fait les premières parties de Mika, Razorlight ou encore Coldplay. Le groupe est sympa et leur musique met de bonne humeur. Cela dit, les amateurs purs et durs de rock auront certainement eu des difficultés à adhérer pleinement à ce groupe anglais. Mais assis dans l’herbe sous un beau soleil à ne rien faire sinon profiter du moment, ça fait du bien.






Retour à la Main Stage avec les Dropkick Murphys. Ceux-là, je les connaissais déjà avant de les voir sur scène parce que bien qu’ils soient moyennement connus de notre côté de l’Atlantique, ils ont leur « petit » succès aux States. Je les ai découvert grâce à la Bande Originale du film « The Departed » de Martin Scorsese où leur morceau « I'm Shipping Up to Boston » m’avait séduite dès les premières secondes. Je les ai retrouvés un peu plus tard via l’émission de MTV « Nitro Circus » puisque leur chanson « The State of Massachusetts » sert de générique à cette émission racontant les aventures à la Jackass de doux dingues de sports moteurs.
Les Dropkick Murphys, c’est du rock bien costaud et rempli d’énergie. La musique celtique, ça draine également toujours une belle énergie. Les deux mélangés, je vous laisse imaginer l’ambiance que ces gars-là ont pu mettre dans le public de Werchter. Pas compliqué, d’où j’étais, je voyais régulièrement des petits groupes s’en donner à cœur joie en dansant sur leur musique.
Il faut reconnaitre aussi qu’ils s’en donnent à cœur joie pendant leur prestation : il fallait voir Ken Casey déambuler dans les allées pour aller serrer des mains de festivaliers pendant « Kiss Me, I’m Shitfaced » avant de finir debout sur une barrière nadar ! N’est pas Irishman qui veut mais lui, il n’a assurément jamais renié son côté irlandais !
Le groupe américain nous a gratifiés de deux nouveaux morceaux, « Road Rise «  et « Rose Tattoo » qui laissent présager un futur album bien agréable.
Le lundi, je parlais avec une collègue de cette journée et elle avoue avoir été séduite et surprise par les Dropkick qu’elle ne connaissait pas du tout. Pour le coup, j’avoue qu’ils ne m’ont pas déçue non plus… notamment grâce à leur reprise du « T.N.T » d’AC/DC, groupe qui compte parmi leurs influences musicales, et par l’interprétation de ce que nous appelons ici « La danse du petit bateau » ou « la danse du Carnaval » : fallait me voir me balancer de gauche à droite et d’avant en arrière comme on le fait régulièrement dans nos fêtes ardennaises ! Plutôt surprise de voir ce morceau interprété par des anglophones, j’ai fait quelques recherches pour finalement découvrir que cette fameuse chanson est un air traditionnel qui remonterait au 12ème siècle et qui a pour titre « The Wild Rover ». Et donc, voilà… en plus de faire danser, les Dropkick Murphys instruisent.





Nous changeons de direction et nous dirigeons vers la petite nouveauté du Festival. En effet, cette année, le festival Rock Werchter a ajouté un second chapiteau sur son site, baptisé « The Barn » et inauguré le jeudi avec notamment, la prestation de Garbage.
Pour l’heure, c’est M. Ward, un californien dont le nom complet est Matthew Stephen Ward, qui est sur scène. Le jeune homme et ses musiciens sont très pros et les influences country et folk transpirent dans la plupart, si pas dans tous les morceaux. Son style musical, associée à une voix un peu trainante, me rappellent beaucoup un autre artiste américain découvert chez nous l’an dernier : un certain Robert Francis.
La reprise de « Roll Over Beethoven » était impeccable ! Et cette ambiance rockabilly était la bienvenue en ce milieu d’après-midi ensoleillé.






Retour vers la Main Stage pour une des têtes d’affiche de la journée, introduite sur scène par rien de moins que Monsieur Vincent Kompany (dont la tête me rappelait quelque chose mais où il me faudra 20 bonnes minutes avant de « tilter ») : Môsieur Noël Gallagher et ses High Flying Birds, projet solo de l’ancien membre d’Oasis.
Née dans les 70ies, j’ai connu Oasis lors de leurs débuts, leurs années de consécration, leur passage à vide et, enfin, leur séparation en 2009… le tout sans jamais avoir accroché au groupe. Je reconnaissais la musicalité de leurs morceaux mais, pour une raison qui m’a toujours échappée, ne pouvait écouter un album entier.
Dimanche 1er juillet 2012, presque 20 après la sortie de leur premier single, j’ai compris pourquoi. Noël Gallagher’s High Flying Birds a indéniablement le « son Oasis » et pour cause puisque Noël Gallagher a écrit la quasi-totalité des chansons de son ancien groupe. A la seule différence près que dans Oasis, c’était le ptit frère Liam qui assurait la partie chant de la plupart des morceaux. Les voix de Noël et de Liam sont similaires, on l’entend dès la première chanson de NG’s High Flying Birds et même si ces deux-là ne se sont plus parlés depuis des années (parait-il), ils ne peuvent nier leur air de famille, tant physiquement que vocalement. Et pourtant… la voix de Noël m’interpelle beaucoup et je craque complètement. Les morceaux sont géniaux, le type est entouré par une bande de musiciens qui assurent comme des chefs et le britannique taquine volontiers son public. Ils nous jouent la quasi-totalité de l’album et y glissent des morceaux Oasisiens (It’s Good To Be Free, Talk Tonight, Don’t Look Back In Anger…) qui cadrent à merveille avec le petit monde de NG’s High Flying Birds. Par sa prestation et par ses chansons, Noël Gallagher est la preuve vivante que, même si on ne sait pas lire une partition, on peut être capable d’être un sacré génie de la musique.
Bref, cette « rencontre » démontre que finalement, la musique n’est pas tout. La voix compte aussi. J’aurais certainement été fan d’Oasis dès leurs débuts si Noël en avait été le chanteur unique et attitré. A peine rentrée du festival, je suis allée me chercher l’album et ce dernier tourne dans mon MP3 depuis une semaine. Dans le bus, au bureau, à pied dans la rue, dans mon bain, le soir devant mon écran, la nuit juste avant d’aller dormir et… euuh… en rédigeant cette chronique.
Il parait qu’il faut soigner le mal par le mal : puisque c’est ainsi, je vais essayer de me guérir… en allant revoir le groupe à Lille en octobre prochain. Je vous dirai alors si l’adage se vérifie…




Nous repartons vers « The Barn » et j’ai déjà prévenu mes copines que nous risquons de nous retrouver avec de jeunes ados hurlant comme des (semi-)hystériques puisque l’artiste qui va s’y produire est la nouvelle coqueluche des jeunes adolescentes. J’ai failli dire que ce type est considéré comme le nouveau Justin Bieber mais ai ravalé mes paroles car finalement, Ed Sheeran, c’est tout de même un peu plus que cela. S’il fallait le rapprocher d’un artiste, je dirais qu’il me fait penser à Jason Mraz, du moins dans son style musical.
Le jeune anglais est doué, j’avais déjà eu l’occasion de le constater lors de sa prestation au jubilé de la Reine d’Angleterre où il avait assuré parmi des grands noms tels qu’Elton John, Annie Lennox ou encore Paul McCartney.
Ici aussi, il assure : bons morceaux, bonne ambiance, belle interaction avec le public… Si ce style musical n’est pas mon créneau habituel, le moment que j’ai passé pas loin de Mr Sheeran n’était pas des plus désagréables… si ce n’est cet instant où nous avons ramassé un maximum de basses directement sur le corps pendant de TRES longues secondes ! Et ça… sans les bouchons que j’avais dans les oreilles, c’était acouphènes à coup sûr pour le lendemain matin, voire la fin de la soirée ! Si c’était un problème technique, je suggère à l’ingé-son d’aller revoir ses classiques ; si c’était voulu, c’est d’une crétinerie sans bornes !




Retour à la Main Stage pour le set de Florence + The Machine. Difficile de passer outre de ce groupe dont le nom a été maintes fois cité dans le monde de la musique au cours des derniers mois.
J’avais eu l’occasion d’entendre plusieurs singles et trouvais la voix de Florence Welch des plus impressionnantes. Depuis plusieurs années, pas mal de groupes de rock/métal (biffez la mention inutile) font appel à des chanteuses à voix… voire lyriques pour assurer des parties chants. Si je trouve le concept intéressant, le résultat en concert peut parfois être désastreux : assurer vocalement en studio où l’on peut interrompre une chanson pour refaire une prise de son et assurer sur scène pendant une heure ou plus, c’est très différent ! Ça n’est pas un problème pour Miss Florence qui a assuré tout le long du set avec une aisance déconcertante ! Le groupe a joué la quasi-totalité des singles sortis à ce jour, dont le célèbre « Dog Days Are Over », repris notamment par les kids de la série Glee.
Par contre, les personnes n’aimant pas les grosses démonstrations vocales et les grands effets de scène (assez présents chez Florence + The Machine) pourraient avoir été déçus par ce set.
Pour ma part, sans être devenue une fan, j’ai toutefois apprécié le style musical du groupe et la condition vocale exceptionnelle de leur chanteuse dont la voix n’a flanché à aucun moment de leur prestation. Respect total !






Nous repartons vers The Barn pour aller voir un artiste qui n’est pas vraiment ma tasse de thé. James Morrison, ce n’est pas mon monde du tout. Cela dit… je dois vous avouer quelque chose.
Autant écouter un de ses albums me fait osciller entre une envie d’aller me pendre et une indifférence totale, autant le regarder et l’écouter sur scène est déjà nettement plus agréable ! Faut juste qu’il arrête de faire trop de grimaces, c’est pas joli sur les grands écrans…
Mention très bien pour « Broken Strings » où, si Nelly Furtado n’était pas de la partie, le public a assuré vocalement. Morrison donnera l’occasion à ce public de lui montrer ce qu’il sait faire en le laissant chanter seul le refrain. Beau moment, belle communion… « You Give me Something » était aussi assez sympa.
Soyons clairs, le fait de l’avoir vu à Werchter ne me donnera pas envie d’aller payer une place pour le voir en concert mais j’ai au moins passé un agréable moment en sa compagnie et celle des musiciens qui l’accompagnent… Double bon moment d’autant que c’est pendant son set que j’ai appris que mes adorables espagnols avaient marqué leur premier but contre les italiens. Parce que oui, évidemment, en bonne « footeuse », j’avais mis un paquet d’amis sur le coup qui m’envoyaient le déroulement du match par sms. On ne se refait pas. Surtout quand c’est « ton » équipe qui est en finale…






Retour vers la Main Stage pour le set de Snow Patrol.
J’appréciais Snow Patrol à leurs débuts et ai acheté « Fallen Empires », leur dernier album en date, par simple curiosité et dans le but d’éventuellement le chroniquer. Je n’aurais pas dû. Peut-être n’étais-je pas dans des conditions idéales mais j’ai trouvé cet album fort fade, sans réelle innovation… Bref, j’ai été déçue et songe même à le refiler au premier fan qui passe. Et dieu sait qu’il faut aller fort loin pour que je songe à me débarrasser d’un des 5000 albums et quelques que j’ai chez moi…
Pour ce qui est du set et bien… j’ai un peu ressenti la même chose. Musicalement, c’est très correct et chaque membre du groupe assure derrière son instrument mais… j’ai trouvé cela fort « plat ». Même la venue d’Ed Sheeran sur scène pour un duo ne m’a pas plus passionnée.
Une chanson a attiré mon attention un peu plus que les autres… J’avais entendu « Run » dans sa version chantée par Leona Lewis et l’avait à l’époque trouvée intéressante parce que les que les voix de Leona et de Gary Lightbody sont très différentes. Initiative intéressante et interprétation réussie, au demeurant. Dommage que je n’aie pas eu ce même « feeling » pour le show des Snow Patrol.





Nous nous redirigeons vers « The Barn » pour le set de Milow et je le fais en sautillant comme une hystérique puisque je viens d’apprendre que les espagnols ont mis un troisième but, s’assurant définitivement du titre de champions puisque la fin du match est proche. Non, attendez… QUATRE ! Un quatrième but vient de tomber !!! J’en lève les bras en l’air en criant un « YESSS !! QUATRE BUTS » devant ma première amie qui a du mal à saisir mon engouement passionné pour le foot et la seconde qui regarde son GSM en se demandant pourquoi sa maman ne lui a pas envoyé les résultats du match au fur et à mesure…
Milow n’est pas à l’heure… Le public réclame. Et puis, on comprend pourquoi. Les organisateurs ont attendu la fin du match pour nous montrer les images de la Roja en pleine célébration et Werchter réagit en hurlant à pleine gorge pour les féliciter. Ils ne pouvaient pas nous entendre là-bas à Kiev mais le cœur y était ! Image des italiens affichant une triste mine aussi, à juste titre. Il faut savoir reconnaitre que la Squadra a fait un très bel Euro et que le résultat aurait tout aussi bien pu être en leur faveur étant donné le match nul d’Espagne-Italie du 10 juin. Rendez-vous dans deux ans, les gars, avec la même énergie…
Revenons à nos notes de musique, à celles de Milow plus exactement, qui sont agréables à l’oreille. On est habitués à la voix de M. Jonathan Vandenbroeck alias Milow, notamment grâce à la reprise du hit de 50 Cent et de Justin Timberlake, ce hit qui l’a fait connaitre mais ce soir, nous avons notamment droit au renfort vocal de Nina Babet qui ajoute du charme à la prestation. En parlant d’ « Ayo Technology », il la jouera bien évidemment, merveilleusement accompagné par le public dans les « hey oh » et les « She wants it »… pour le plus grand plaisir de l’interprète belge. Milow finira d’ailleurs par aller saluer les fans du premier rang et à faire une photo de la foule en les invitant à aller s’identifier sur sa page Facebook.
Ce set est très chouette, oscillant entre morceaux plein de douceur et de tendresse et autres titres plus énergiques. Le groupe ne ménage pas ses efforts et est fort généreux: voir un groupe interagir avec son public est toujours des plus plaisants et ce… qu’on soit fan ou pas. Je ne suis pas fan de Milow, j’apprécie sans plus mais ce soir-là, il a gagné tout mon respect pour son professionnalisme musical et sa générosité.






Cavalcade vers la Main Stage pour le final act de ce soir, la tête d’affiche que sont les Red Hot Chili Peppers. L’attente est d’ailleurs visible au nombre de personnes présentes à ce moment-là sur la plaine de Werchter. Si le site du festival s’est rempli peu à peu au cours de l’après-midi, cela n’est en rien comparable à la foule qui s’est amassée sur le terrain depuis. Ils sont attendus, ceux-là !
La setlist fait la part belle aux albums-phares du groupe que sont Californication (Scar Tissue, Right On Time, Californication, By The Way...) et Blood Sugar Sex Magik (Under The Bridge et, toutes en rappel, Sir Psycho Sexy, They’re Red Hot et… Give It Away).
Le groupe n’oublie pas non plus de nous présenter plusieurs chansons de « I’m With You », son dernier album en date. C’est d’ailleurs le titre « Monarchy Of Roses » qui ouvre le bal. Suivront ensuite trois autres extraits de l’album. Si « I’m With You » a été vivement critiqué pour son côté trop « mainstream », il faut avouer que les chansons se fondent sans aucune difficulté dans la setlist de ce soir.
Au final… ce groupe est dingue ! Plus de 25 ans après son arrivée dans le monde de la musique, il a connu autant le succès que la déconfiture et probablement plus de malheurs et de coups durs provoqués par les diverses addictions de ses membres que pas mal d’autres groupes rock et pourtant… ils sont toujours là. Et en pleine forme. A la cinquantaine bien frappée. Et ça impressionne toujours un peu… même si, en cours de concert, je me suis demandée si John Frusciante était toujours de la partie ou s’il avait une fois encore pris le large. De fait, aujourd’hui, c’est Josh Klinghoffer qui assure les parties guitares du groupe.
Pour ceux qui étaient présents ce soir-là et voudraient pouvoir réentendre le set jusqu’à ce que mort s’ensuive, sachez que les Red Hot ont cette habitude d’enregistrer certains de leurs concerts et de les rendre disponibles à l’achat. Ainsi donc, si vous voulez vous procurer le concert des Red Hot à Werchter, je vous invite à cliquer ici.






Et voilà… Werchter, c’est fini pour cette année ! Qui sait ce qui nous attend l’an prochain ? Quoique… en cours de journée, notre trio a été invité à remplir un questionnaire. Parmi toutes les questions, une qui, selon moi, avait une importance majeure : « Si vous pouviez voir un artiste vivant une fois dans votre vie, quel serait-il ? ». Si cela n’est pas une façon déguisée de nous demander quels artistes nous voudrions voir au cours des prochains festivals…
A cette question, je n’ai pas pu m’empêcher de mettre non pas un mais trois artistes :
1.   Linkin Park (déjà vu mais peu importe, 2004 c’est loin tout ça…)
2.   Stereophonics (album prévu fin de l’année, un autre courant 2013, ça peut le faire…)
3.   Quitte à y aller joyeusement, j’ai tapé fort pour mon troisième choix et n’ai pas hésité à mettre les Rolling Stones ! Ben quoi… l’an prochain, il est prévu une tournée anniversaire, nan ? Et pourquoi ne pas passer chez nous après tout ?

Rendez-vous du 4 au 7 juillet pour voir si un de ces trois-là sera de la partie… Et vous, y serez-vous ?


Programme de la journée :

Other Lives (Pyramid Marquee)
The Vaccines (Main Stage)
Kitty, Daisy And Lewis (Pyramid Marquee)
Dropkick Murphys  (Main Stage)
M. Ward (The Barn)
Noel Gallagher’s High Flying Birds (Main Stage)
Ed Sheeran (The Barn)
Florence + The Machine (Main Stage)
James Morrison (The Barn)
Snow Patrol  (Main Stage)
Milow (The Barn)
Red Hot Chili Peppers  (Main Stage)

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